Ma vie de libertin - Amours de jeunesse - 2ème partie.
Datte: 10/08/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... rendis. Nos langues se mêlèrent dans une succession de baisers profonds qui achevèrent de nous échauffer. Mon T-shirt et mon bermuda vite enlevés, je retirai son chemisier et ôtai le soutien gorge : sa poitrine volumineuse ne plongeait pas trop. Ses seins fermes d’un blanc laiteux n’avaient certainement jamais vu le soleil mais qu’ils étaient beaux ! Je crois que c’est à partir de cette découverte que je suis devenu autant fan des seins féminins… Ma bite était dressée, triomphante, comme aimantée par ces deux globes séparés par une fente profonde où la transpiration laissait perler quelques gouttes. Les tétons légèrement saillants semblaient appeler la morsure de mes lèvres. Francesca fit alors glisser son pantalon et sa culotte. Une toison noire et taillée sommairement en triangle apparut au dessus de sa chatte. Elle tendit les mains vers mon sexe pour masser mes bourses et mon sceptre de chair en se rapprochant du bord du divan pour le prendre en bouche pour quelques va-et-vient. Ensuite, d’elle-même elle mit ma bite entre ses globes pour me branler ainsi. Que c’était bon, doux et chaud. Elle bascula sur le dos en m’entrainant sur elle. Je réalisais ainsi ce qui parfois m’avait fait fantasmer en voyant des photos dans des revues coquines qui s’échangeaient sous le manteau. Ma bite se trouvait maintenant à la hauteur de sa chatte. Je me couvris rapidement d’un préservatif et d’une seule poussée, j’investis sa vulve humide et chaude où je restai immobile. Je savourais cette ...
... baise inattendue, la seconde de ma jeune vie… Au bout de quelques allers-retours, Francesca jouit brusquement. Elle se dégagea et ôtant la capote, elle se glissa sous moi pour venir emprisonner à nouveau ma bite entre ses seins, la faisant coulisser entre eux. Je n’en pouvais plus d’autant que lorsque j’étais à portée de sa bouche, elle gobait mon gland pour le sucer. Bientôt je crachai d’abondants jets de foutre qui maculèrent sa gorge et le bas de son visage. Après un temps de repos, Francesca recommença à me tailler un plume et me faire bander à nouveau. Ce ne fut pas difficile : c’était ma première fellation ! En plus, j’avais encore envie de la baiser. Elle plaça un préservatif sur le bout de ma queue bandée et, en suçant ma bite, elle la couvrit elle-même en le déroulant entre ses lèvres. Douée la fille ! Quelle caresse ! Elle semblait avoir bien plus d’expérience que moi ! Elle se mit en levrette. J’avais sous les yeux ses hanches larges, sa taille étroite, ses reins creusés au bas de son dos où il y avait deux fossettes. Quel spectacle. D’une poussée lente et continue, j’investis à nouveau sa chatte jusqu’à la garde quand elle me surprit en disant : • Encule-moi, j’en ai envie. Tu seras le premier mais je suis prête ! Décidément ce jour là, j’aurais aussi découvert qu’on pouvait sodomiser une fille ! Tout aussi doucement, je pénétrai son anus qui s’ouvrit facilement, emprisonnant ma bite dans un fourreau chaud qui me massait le bout de la queue... : • Je ne peux pas ...