De Constantine à Marseille - Jean - 1
Datte: 10/08/2020,
Catégories:
hh,
jeunes,
hépilé,
hsoumis,
hdomine,
facial,
fouetfesse,
Gay
... sexe. Avant, il faut se raser ! Lorsqu’on s’est mal rasé, on sent passer les séances de laser ! J’ai sympathisé avec Barthélémy. Pas mal, même ! D’abord, j’étais recommandé par Éric. Donc il savait que je savais et lycée de Versailles. La première fois, je lui ai tout de même proposé de payer la séance. Il n’a pas voulu. Éric m’avait prévenu. Il m’avait dit aussi qu’il n’était pas jaloux pour un sou. Et que si son dermato me tentait, il n’avait rien contre. Et, c’est parti comme ça. Très rapidement. Comment dire ? Pour faire bref, près chaque séance, un grand pieu noir s’enfonçait en moi, et c’est dans son cabinet que s’est développée cette sensation insidieuse d’être femme chaque fois un peu plus, et garçon chaque fois un peu moins. Il savait tout ça, Barthélémy ! Il était homme, très homme. Et j’aimais tellement ça. Et lui aimait tellement que pour lui je sois un peu femme. Quand il me recevait, dans son cabinet du centre-ville, il portait une sorte de sarreau de chirurgien, ainsi qu’un pantalon de toile verte. Et dessous, rien ! Pendant qu’il travaillait, je regardais sa virilité s’affermir et il me regardait le regarder, et ça nous faisait sourire, l’un et l’autre. Sourire seulement. Ni lui ni moi n’avons vraiment beaucoup discuté. Cela faisait partie un peu de nos conventions. Ce qui suivait après l’épilation n’en perdait rien en force et en virilité, au contraire. Comme si le silence transportait l’ambiance de la domination. C’est un peu ça, je crois. Je crois que ...
... c’est à la quatrième ou cinquième séance, qu’il a fait les fesses. La fois suivante, juste après la séance, alors qu’il s’apprêtait à me pénétrer, à m’enculer (excusez-moi, mais j’aime bien ce verbe !) à sa façon habituelle, c’est-à-dire assez vite because les clients qui attendent, assez brutalement aussi je dirais, il a suspendu son geste. Pour l’occasion, j’étais allongé à quatre pattes sur le lit de travail, les jambes très écartées, la taille cambrée pour que mes fesses et mon petit trou lui soient facilement accessibles. Il a commencé par admirer son travail épilatoire, a commencé par caresser mes fesses, m’a demandé si j’étais satisfait. J’ai répondu par l’affirmative. — Elles sont toutes pâlottes, tes fesses, tu trouves pas ? a-t-il dit avec sa voix grave. Comme si le sang ne circulait pas… a-t-il continué comme pour lui-même… Et puis elles sont toutes froides… a-t-il poursuivi. « Ben ouais », ai-je pensé sans répondre. « Ça fait tout de même une heure que je suis à poil. C’est peut-être normal qu’elles soient pas chaudes comme la braise. » Et puis j’ai compris. Il a commencé par de petites tapes timides, comme pour faire gentiment revenir sang et couleurs. Je ne disais toujours rien. Il alternait les caresses de la main droite avec des tapes régulières de la main gauche. Et puis les tapes sont devenues de moins en moins gentilles. J’ai failli dire stop. Mais je ne l’ai pas fait. J’ai voulu savoir comment je réagirais au final de cette nouvelle pratique. Ce n’était pas ...