L'inconnue
Datte: 11/08/2020,
Catégories:
h,
fh,
inconnu,
douche,
volupté,
Masturbation
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
... remplit la chambre. Et ce ne fut qu’à ce moment que je fus capable de regarder ce qui m’entourait. Je me trouvais en effet dans sa chambre, la lumière sombre venait de plusieurs bougies et les draps rouges et noirs du grand lit m’invitaient à m’asseoir. Cette ambiance légèrement érotique m’excitait. La porte s’ouvrit, la fille entra, tenant dans ses mains deux verres de vin rouge, et m’en donna un. Après avoir bu une petite gorgée, elle posa son verre et me fit signe de me lever et de m’approcher d’elle. Je savais que ce n’était pas à moi d’être actif et j’attendis, après avoir fait trois pas dans sa direction. Ses mains douces touchèrent mon visage, mes joues, mon cou et commencèrent à enlever mon t-shirt par la tête. Elles caressèrent ma poitrine et mon ventre – encore plus tendrement que je ne l’avais imaginé sous la douche. Ses mains continuèrent à masser mes fesses et s’approchèrent des boutons de mon pantalon. J’avais follement envie de la toucher, mais je savais qu’il fallait précisément que je me retienne. Ses lèvres entrouvertes effleurèrent ma bouche, mais je n’eus pas droit à un vrai baiser, ce qui m’excita encore plus. Elle ouvrit mon pantalon, bouton par bouton, et l’enleva ; le caleçon suivit sans hésitation. J’essayai de la déshabiller également, mais elle prit mes bras et me poussa doucement, bien que de manière décidée, sur le lit. Nu comme j’étais, je m’étendis sur les draps frais et la regardai en attendant. Mais au lieu de venir à moi, elle commença à ...
... bouger au rythme de la musique. Elle me regardait toujours droit dans les yeux et passa sa main dans ses cheveux et sur son cou, puis ouvrit lentement les premiers boutons de sa chemise. Je voyais sa poitrine se lever et se baisser dans le rythme de sa respiration et, automatiquement, mes mains caressèrent les mêmes parties de mon corps qu’elle touchait du sien. Je me rendis compte qu’elle ne portait pas de soutien-gorge quand elle me présenta deux seins fermes en laissant tomber sa chemise. Sa jupe tomba quand elle remua ses hanches en dansant ; elle portait une petite culotte en dentelle rouge. Nue, elle s’approcha de moi qui étais déjà presque fou de désir. Elle prit son verre, trempa son doigt dedans et humecta les pointes de ses seins durcies avec du vin. Elle s’agenouilla devant moi sur le lit et me laissa lécher les gouttes de vin. Quand le bout de ma langue frôla son mamelon, je pus l’entendre emplir ses poumons d’air. Mais tout à coup, elle se retira, me prit par les épaules et me poussa sur le lit en s’asseyant sur mes jambes. Son visage s’approcha de moi, ses seins frôlèrent ma poitrine comme par hasard, mais avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, je ne supportai plus cette excitation passive. Je la pris, la tournai et m’allongeai à ses côtés, sans la toucher avec mon torse. J’orientai sa tête vers moi, la regardai dans les yeux et j’approchai ma bouche de la sienne. Nous sentîmes le souffle rapide de l’autre et, quand je caressai doucement ses lèvres avec la ...