L'amante religieuse
Datte: 11/08/2020,
Catégories:
fh,
religion,
campagne,
amour,
Oral
pénétratio,
confession,
humour,
initfh,
... mais souriant sur les photos. — Mon père avait quarante-trois ans quand je suis née. C’était son second mariage. Il y a des photos d’elle en novice. Méconnaissable. Un zombie. — Je n’étais pas bien, là. C’était le suicide ou le couvent. Mais le suicide, c’est un péché. Quand j’étais instit, je logeais avec mes parents. Je leur donnais tout mon argent. La nuit, je m’enfermais à clé dans ma chambre. J’avais des journées d’école lumineuses avec les enfants et des soirées d’enfer, avec la crainte d’être seule avec mon père et la honte de le détester. C’est bizarre, je me rappelle la honte et la peur, mais ce qu’il faisait précisément, je l’ai oublié. Ça ne transparaît que dans mes cauchemars, et je me demande toujours si mon rêve invente ou raconte la réalité. Je n’ai jamais parlé de ça à personne, même à mon confesseur. Et comme cacher un péché, c’est encore un péché, je me suis toujours sentie coupable vis-à-vis de Dieu. Quand Suzanne se raconte, elle devient très triste, mais je sais qu’à chaque fois elle fait un pas pour s’accepter et se construire. — Montre-moi un film où une femme caresse un homme avec sa bouche !— On dit faire une fellation, ou tailler une pipe, ou sucer. Mais tu n’as pas besoin de film, il suffit d’essayer…— Non, j’ai peur de faire mal, de te faire mal. Montre m’en un. Un seul. Ce n’est pas difficile à trouver sur Internet. Elle regarde attentivement en me jetant un coup d’œil, riant de temps en temps. Quand le mec éjacule sur le visage de la nana, elle ...
... est un peu éberluée. — Pourquoi il lui éjacule dessus ?— C’est un classique du porno. Il faut salir la femme. Tu sais, les films pornos sont en général très machistes, parfois violents. L’amour, ce n’est pas vraiment comme ça.— Et c’est pas bon, le sperme ?— J’ai déjà goûté, c’est un peu fade. Il y a des femmes qui détestent, et d’autres qui aiment. Il faudra te faire ton idée. Quand elle entre dans la chambre, elle veut garder un peu de lumière. Elle ne porte que sa culotte, une banale culotte en coton, pas trop sexy, mais sa timidité exhibitionniste et son sourire plein de gentillesse valent toutes les dentelles noires et tous les porte-jarretelles. Dès qu’elle se couche près de moi, je bande. Je suis vraiment surpris par ce rebond de ma sexualité que je croyais bien malmenée par les ans. — Je peux enlever ton slip, je voudrais voir ta verge ?— Je veux bien, mais quand enlèves-tu le tien ?— Peut-être tout à l’heure, sois patient avec moi. J’ai envie, mais j’ai très peur. C’est très dur, dans ce monde que je découvre, tout m’attire très fort, mais un rien m’effraye. Mais toi, tu es toujours patient et gentil.— Je me sacrifie… Elle retire mon slip avec beaucoup de délicatesse. Elle contemple ma bite dressée. Le gland tout violet la fascine. — Quand on voit un film, ou dans le noir, c’est moins réel. Ça va me rentrer dedans ? Et en roulant les r : — C’est trop gros, dites ! Elle l’a bien amenée, celle-là ! Elle est drôle et touchante (et comment !) avec ses mots souvent naïfs, ...