1. L'amante religieuse


    Datte: 11/08/2020, Catégories: fh, religion, campagne, amour, Oral pénétratio, confession, humour, initfh,

    ... appuyer. Je suce ses grandes petites lèvres, aussi sombres que son corps est blanc. Je la lèche partout. Elle réagit fortement à ces caresses, et cette fois elle mouille abondamment. La montée de ce plaisir inconnu la tend comme un arc. Mais elle ne résiste plus, elle ondule à son rythme. Elle pousse un grand cri et serre vivement les cuisses sur ma tête et mes doigts. L’orgasme la secoue quatre ou cinq fois, puis elle reste totalement immobile. Je me demande si elle s’est évanouie, mais bientôt je sens sa main qui me caresse lentement les cheveux. — Qu’est-ce que tu m’as fait, Yves ? C’est divin ! Ou diabolique ! Je lui chante un peu mal à propos : Je voudrais peut-être qu’elle poursuive la chanson, mais : — Qu’est-ce que c’est « dard », c’est « verge » ?— Eh oui, dard, bite, zob, zizi…— On recommencera ? Comment on dit, quand tu me lèches ?— On dit cunnilingus ou faire minette.— Tu fais minette à ma chatte, alors ? *** C’est moi, Suzanne, qui reprends ce journal d’Yves. Je l’aime, cet homme. Je l’aime tellement que je ne veux pas qu’il serve à une autre. Je l’aime tellement que je l’ai tué. J’ai coupé les bons morceaux en petites pièces et je les ai mises au congélateur, puis j’ai enterré le reste au jardin.J’ai rajouté le titre au journal. C’est bien choisi, non ?Chaque jour, je mange un bifteck ou une côtelette. Le foie n’est pas mal non plus, pas du tout cirrhosé. Je ...
    ... pensais que le cœur serait le meilleur morceau, mais non, un peu trop tendre…Je sais, je suis complètement folle. Mais qu’est-ce que je risque. Vingt ans de prison ? Ça ne doit pas être bien pire que le couvent, et puis on peut lire des vrais livres et on n’est pas toujours à prier.Amen. *** Je viens de rentrer d’un petit voyage de quelques jours. Elle est complètement brindezingue, cette femme. Peut-être est-ce sa façon symbolique de tuer son père pour qui elle a passé près de vingt ans en prison… Mais son plaisir lors de mon retour était si évident que je lui pardonne son humour gore. Elle mérite quand même une bonne fessée mais, à tous les coups, ça va lui plaire ! Je suis arrivé à seize heures dix. À seize heures douze, elle m’avait déjà mis au lit et on était tous les deux nus. Ensuite, on est allés très lentement. Après plein de caresses et de baisers, elle m’a capoté la verge en me glissant « j’aimerais bien rouler en décapotable… », s’est empalée sur mon sexe (elle adore cette position qui lui permet de venir se lubrifier sur ma langue, de contrôler les événements et, nouveauté, de se caresser), et tout doucement elle a attendu son plaisir presque sans bouger. Puis elle a explosé en silence, jouissant de tout son corps, les yeux fermés dans la grande lumière de l’après-midi. Après une douche, je lui dis : — À dix-huit heures, piscine ! Ce sera l’amante à l’eau, cette fois ! 
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