1. L'amante religieuse


    Datte: 11/08/2020, Catégories: fh, religion, campagne, amour, Oral pénétratio, confession, humour, initfh,

    ... blague… Viens déjeuner. J’évoque le problème de la grossesse. Je n’ai pas du tout envie d’avoir un enfant maintenant, mais elle ? Elle ne sait pas trop, mais elle pense qu’il vaut mieux l’éviter. Elle va avoir une classe de petits, et ça devrait lui suffire. Pince-sans-rire, elle me sort : — Ce serait drôle, pour une sœur défroquée, de finir en sainte ! Elle ira voir mon amie généraliste pour avoir une contraception. En attendant, en faisant les courses, je glisse un paquet de préservatifs dans le caddy. Le soir arrive vite pour moi qui commence à m’inquiéter du rythme sexuel imposé par Suzanne, encore que, si je compte bien, je n’ai pas « répandu ma semence » bien souvent. Suzanne, elle, attend fébrilement. Je fais traîner le repas, mais après la vaisselle elle me dit simplement qu’elle va m’attendre au lit. Rien qu’avec ça, je recommence à bander… Je la rejoins dans sa chambre où elle lit, couchée sur le drap dans sa grande chemise de nuit blanche, fermée jusqu’au cou. Bien sûr, j’en ris et je la rejoins. Nous nous embrassons, nous nous dévêtons, nous nous caressons. Suzanne n’a plus du tout de gestes de recul lors des caresses inédites. Son volontarisme a fait place à une disponibilité étonnante. Je pense qu’il ne faudrait pas trop exagérer, mais le changement est radical. — Je veux ressayer dessus.— Tu vas peut-être ravoir mal…— Non, je ressens que c’est fini. Cette fois, c’est elle qui vient se caresser et se lubrifier sur ma langue. Et je sens sa mouille bien plus ...
    ... nettement qu’hier. Bien sûr, elle n’a jamais vu de préservatif. Je lui explique comment le mettre. Ça la fait beaucoup rire. — On dirait un moine avec sa bure… ou du boudin avec ses deux pommes. Elle se met en position, bien droite, et c’est sans aucune difficulté que ma verge entre en elle. Elle fait des mouvements lents, les yeux fermés, elle descend toujours à fond. Mais elle ne semble pas progresser dans son plaisir. Elle essaye d’accélérer, mais ça ne marche pas trop. Elle finit par se coucher sur moi, un peu déçue, toujours empalée. Je l’embrasse et lui caresse le dos, et je reprends, comme pour jouer, des petits mouvements, plus faciles maintenant qu’elle est couchée sur moi. Elle se laisse d’abord faire, un peu désabusée mais, petit à petit, elle participe plus, son clitoris est serré quand elle s’enfonce bien sur moi. Des petits cris lui échappent et elle accélère le mouvement. Malheureusement, tout cela m’excite prodigieusement, et je jouis sans parvenir à l’attendre. Elle ne dit rien, mais je vois sa déception. Je sors d’elle, pose la capote par terre, et je commence à la caresser comme l’autre jour : la langue fixe sur le clitoris et de la main gauche je déplace lentement le haut des grandes lèvres. Cette fois, en plus, je peux glisser deux doigts, et lui masse doucement la partie antérieure du vagin. C’est magique. Elle redémarre au quart de tour, elle commence à se cambrer et à remuer le bassin au rythme de mes doigts. Je lui lape maintenant le clitoris, sans ...