1. Les frasques de mon bureau


    Datte: 09/10/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail entreseins, Oral

    ... porte, légèrement penchée en avant, les bras tendus en l’air de chaque coté, les jambes écartées et toute nue. Mais le plus mystérieux reste sa traversé des couloirs, dans cette tenue, sans que personne ne la remarque, un exploit. Même si mon étage est très calme à cette heure, il n’en demeure pas moins relativement fréquenté. — Ferme la porte. Ma voix s’est faite chuchotement, je ne réussis pas à parler plus fort. Je m’étouffe à demi, tant mes nouilles ont du mal à descendre. Je réussis difficilement à déglutir et passe ma main sur mon visage, comme pour me rappeler à la réalité. — Aucun risque, y a personne. Ils sont tous partis manger. Y a plus que nous deux. On va être tranquille. Je sens une certaine espièglerie dans le son de sa voix et elle, dans la mienne, une certaine crainte. — Quand même. On ne sait jamais. Elle ignore ma remarque et me sourit. — Trouillard ! J’acquiesce de la tête. Elle me renvoie le geste d’un clin d’œil et se penche en avant, comprimant ses gros seins entre ses bras. Sa poitrine paraît soudain encore plus volumineuse, plus belle, plus sexy. Sophie s’avance et est maintenant à moins d’un mètre de mon bureau. Elle a libéré ses seins et suce vicieusement son majeur, puis le fait glisser le long de son buste et de son ventre pour l’introduire encore plus perversement entre ses cuisses. Elle émet un petit gémissement en fermant ses yeux noisette et en penchant légèrement sa tête en arrière. J’ai une vision quasi complète de son corps. Seuls le haut ...
    ... de son visage et ce qui se trouve sous ses genoux me sont cachés. Je parcours lubriquement sa plastique pulpeuse, de haut en bas. Sa langue glisse sur ses lèvres, elle se délecte. Elle porte au cou une chaîne, avec un petit cœur rouge qui vient se glisser entre ses gros seins ronds et charnus. Ses tétons sont en conséquence et pointent en l’air. Son ventre est potelé et son nombril percé d’un anneau d’argent. Au-dessus de sa toison d’or, taillée façon ticket de métro, un dragon à grandes ailes est tatoué. Ses cuisses sont joliment dodues et sa peau rose. Ses rondeurs me mettent l’eau à la bouche, plus encore que mon plat de nouilles chinoises. Il n’a d’ailleurs, maintenant, plus aucune saveur. Je n’en crois pas mes yeux. J’hallucine. Ce n’est pas possible, elle me fait marcher. J’ai une furie devant moi, une tigresse du sexe. Ses doigts s’activent furieusement entre ses cuisses. Son corps se tortille comme une anguille survoltée. Elle caresse activement sa poitrine et la remonte à sa bouche pour la sucer du bout de la langue. Ces gémissements se font plus forts et emplissent la pièce. Ils résonnent dans ma tête. Mon bureau d’ordinaire si frais me paraît soudain tropical. J’ai déjà les bruits et la moiteur. Il ne manque plus que le décor. Je me sens lourd et collé dans mon siège par ce spectacle de chair. L’air me manque. J’étouffe. Je desserre ma cravate et déboutonne ma chemise. J’inspire un grand coup et enfin, je reprends mes esprits. Je n’avais jamais envisagée Sophie sous ...