1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (37)


    Datte: 15/08/2020, Catégories: Transexuels

    ... sûr… On retombe sur le sol de la cabine de pilotage. C’est avec tendresse que l’on s’embrasse… Que l’on profite du corps de l’autre. Une mouche pourrait passer, que l’on ne l’entendrait pas. On s’aspire nos langues, nos lèvres. Petit pervers. Mais je suis bien. Lovées dans ses bras. Pour la première fois je me sens fragile, mais dans des bras protecteurs. — Humm… Vanessa. Il faut que l’on redescende, ils vont s’inquiéter. — Oui, Papoune, vas-y, j’arrive… Je t’aime… Il se relève et descend les deux ponts qui nous séparent du salon. Il y est accueillie par des cris de joies et des effusions diverses. Je descends à mon tour et me rends compte de ma bévue… Au lieu d’éteindre la retransmission, je l’ai activé. Pas une honte, mais une fierté d’avoir fécondé mon papa. Il se retourne vers moi, il est souriant. Le reste de la soirée fut calme, sexuellement parlant. Emile a pris Julia sur ses genoux. Ils ont un peu discutés, puis ils se sont éclipsés. Axiana est venue me féliciter, puis entraînée par Adélia, Elles sont montées en passerelle. Maria est partie rejoindre sa fille, oups pardon, ses filles. Déb et Anna m’ont demandé l’autorisation de se retirer, qu’elles finiront de ranger demain matin. J’acquiesce. On est que toutes les trois, en compagnie de David et Caro, qui éprouvés par leur voyage, s’en vont rejoindre Morphée. Le calme est enfin revenu, à par le tonnerre qui gronde encore au loin. Théna nous dit qu’elle va nous laisser tranquille et s’en va dans notre cabine. Je me ...
    ... lève et la prend dans mes bras. — Non, Théna, reste avec nous. Malika, attendrie par mon geste, se joint à nous. On se love à m’aime la moquette est c’est un balai à six mains qui débute, bientôt rejoint par nos langues. Ma toge est vite enlevée. Je veux enlever mes chainettes, elles m’en empêchent, elles parcourent le chemin ainsi formé de leur langue, les amenant jusqu’à mon sexe tendu. Elle ne suce pas, elle me lèche, récupère mon liquide séminal. Je me mets à quatre pattes et telles des chiennes en chaleur, elles me dévorent le corps, me le griffant, me le mordant. Je suis dans un état de total abandon. Quand elles atteignent l’entrée de mon anus, je m’effondre sur mes avant-bras. Je n’essaie même pas de me retourner. Je profite de cette caresse et je jouis en inondant la moquette. Je suis affalée, face contre terre, avec deux langues qui se battent à l’entrée de ma chatte. Malika, la plus vicieuse, va se désaltérer à la source. Elle tète ma bite comme sur un biberon. J’aime la voir aussi inventive, aussi salope. Théna, plus timide, vient m’embrasser. Je m’écroule. Malika a juste le temps de se retirer. On décide de finir cette soirée dans notre lit. 10h00, je me réveille encore une fois seule. Je ne m’étonne plus. Je passe à la douche. Bizarrement, je n’ai plus la perruque. Après cette douche, je trouve Gladys en train de faire mon lit et elle me dit : — Je suis votre dame de compagnie, j’en ai parlé avec les filles. Elles ont un peu râlé, mais je leur ai promis de leur ...
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