1. Les errances d'un candauliste (4)


    Datte: 09/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    (Dans cette scène réelle les hommes avaient utilisé des préservatifs, afin de ne pas casser le récit je ne l’ai pas précisé dans mon texte...) Elle avait pris le temps de se doucher, avait répondu à quelques SMS, c’était lui. Il lui disait comment il voudrait qu’elle soit à son arrivée : toute nue et en position de levrette. Il avait précisé me concernant que je pouvais mater, me branler mais ne pas participer. Elle était dans un état extatique, euphorique et nerveuse, elle m’avait aussi embrassé langoureusement, m’avait dit qu’elle m’aimait profondément et que tout cela n’était que du sexe. Nous avions commencé une discussion à mon sujet, sur le pourquoi de mon état d’excitation, elle trouvait ça étrange mais pas du tout désagréable. Elle avait pris cette petite mine aussi, mine un peu garce en s’agenouillant devant moi, moi debout et tout dure dans mon boxer : « Alors comme ça tu bandes à l’idée de voir ta chérie se fasse cogner les fesses par un méchant garçon bien pourvu ?! » dit-elle en me moquant un peu, je n’ai pas su quoi répondre, elle me léchait la hampe à travers la couture du tissu, j’allais sortir mon sexe pour profiter entièrement de l’incroyable douceur mécanique de sa bouche, mais la sonnette s’activa, plusieurs coups frénétiques. C’était lui. Je me tenais à dix pas de la scène, spectateur silencieux sur son siège, le caïd m’avait à peine salué. Justine était comme prévu en position de levrette sur le lit et l’on aurait pu croire que le mec allait la ...
    ... prendre ainsi direct, mais non. Il s’était installé en tailleur face à elle, leurs visages séparés par quelques centimètres, ils ont eu une discussion à voix basse pendant plusieurs minutes ; je ne pouvais pas entendre grand-chose, il lui posait des questions et elle y répondait, souvent par l’affirmative en secouant la tête de bas en haut. La chambre sentait le sexe ou plus précisément l’air était chargé des parfums de Justine, odeur de sa sueur d’excitation, de sa chatte que je voyais entrouverte et brillante de mouille, elle n’en pouvait plus. Et puis c’est arrivé, il s’était relevé afin d’ouvrir son jeans pour doucement sortir l’appareil et le présenter à la bouche de Justine, un membre qui au repos valait la taille d’un sexe en érection de bonne tenue, c’était monstrueux. Mais que Justine était belle avec cette bite noire dans la bouche. Les regards qu’elle me lançait étaient piqués d’insolites expressions, entre excuse et désir, entre culpabilité et vanité comme si elle me disait : « Je t’aime mais j’aime aussi énormément ce que j’ai dans la bouche et appartenir à ce mec pratiquement inconnu me plait... ». Une fois de pierre et après une salve de biffles, l’homme s’installa derrière Justine avec en main sa queue toute enduite de salive. J’aurai pu jouir à cet instant, au premier cri, il avait de la peine à passer, je le voyais bien à sa manière de forcer l’engin dans sa chatte. Justine serrait les draps de ses poings, je l’entendais dire « putain c’est gros ! » entre deux ...
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