1. Les errances d'un candauliste (4)


    Datte: 09/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... gémissements. Mais le caïd connaissait son affaire, son gros gland fila finalement à l’intérieur ainsi que la bonne moitié de sa queue, Justine était pleine et au bout de quatre coups de reins reçue son premier orgasme, l’homme riait : « elle part vite la petite pute... j’ai encore rien fait » - Oui il n’avait encore rien fait, il avait pilonné pendant plus de trente minutes avec l’ardeur d’une lessiveuse la croupe de Justine qui était en prise avec des orgasmes multiples, cette dernière s’excusant parfois auprès de moi avec quelques mots lancés « désolé bébé !!! » car jouissant et hurlant dans des proportions telles que je passais pour un puceau, assommant ma réputation de bête de sexe, j’étais en comparaison très loin du compte. Soudain Justine tourna de l’œil alors que l’homme finissait son ouvrage, il jouissait, le ventre collé contre son cul dans un puissant râle alors qu’elle était à peine consciente à l’instar d’une poupée de chiffon. Après l’ébat, je me suis levé, moi l’homme officiel de la femme qui gisait sur le lit pour m’enquérir de sa santé, mais le mec m’avait fait signe de ne pas avancer en disant « je gère... », il est alors allé lui parler et j’entendais Justine lui répondre et je fus bien rassuré en l’entendant rire. Puis le caïd s’est rendu dans le couloir pour fumer une cigarette et passer un coup de téléphone. Nous avions eu le temps d’échanger quelques mots avec Justine qui disait être épuisée mais de sentir tellement bien. Le Caïd revint et déclara à ...
    ... Justine : « Il monte, en place chienne, moi je me casse, bye ! » il passa la porte, et dubitatif j’interrogeais Justine : — Heu ? Qui monte ? ybwyuupt — Un autre gars, mon maitre lui doit une dette, c’est moi qui la rembourse, ne t’énerve pas c’est cool, c’est le jeu... — Pardon ? Ton maître ? — Oui, lorsque nous sommes à Paris sur son territoire, je ou plutôt nous lui devons obéissance, reste cool bébé en plus il a glissé 100 € dans mon sac... Je cherchais mes mots, mais voilà que déjà le nouvel inconnu passait la porte. J’attendais de voir la réaction de Justine car il faut dire que l’homme était un peu laid et gros, la cinquantaine, les cheveux tirés en arrière par des vagues de gel et des bagouses à tous les doigts, pas de quoi rêver. Elle ne démontra pas de dégout particulier, l’homme prit place sur le lit et en s’asseyant libera sa queue de petite taille et invita Justine à le sucer en indiquant que : « moi je ne suis pas celui qui baise mais qui donne les punitions... ». Quelle image perverse, Justine était en position ventrale, ses gros seins écrasés sur la cuisse de ce vieux pervers qui de sa main droite poussait la tête de ma douce sur son sexe et de sa main gauche donnait de fortes claques sur ses fesses ou lui enfonçait ses gros doigts dans ses intérieurs. Parfois il la tirait par les cheveux pour interrompre la succion et lui disait : « y a ton amoureux qui regarde là-bas, dis-lui donc ce que tu es devenue aujourd’hui... », elle répondait qu’elle était devenue une ...