1. Nuit charnelle (1)


    Datte: 09/10/2017, Catégories: Hétéro

    ... La sensation des mains de Greg sur ses épaules la sortit de sa rêverie, il la tira vers le haut, avant de la retourner et de la plaquer à nouveau contre le mur qu’elle avait quittée quelques minutes plus tôt. Elle sentait son sexe dure contre sa robe pendant qu’il lui répétait qu’il avait trop envie de la baiser. Elle aimait quand il devenait vulgaire, elle savait que c’était la traduction d’un désir sincère, lui qui exécrait d’ordinaire à user de ce type de langage. Elle savait également qu’un seul mot de sa part, qu’une seule réaction même minime, et il stopperait ce langage, par peur de l’avoir vexée ou d’être allé trop loin. Mais là maintenant, elle voulait qu’il se laisse aller, qu’il soit primaire, bestial, qu’il la domine. Il leva le pan arrière de sa robe, elle écarta doucement ses jambes, et elle sentit son gland contre ses lèvres. Il la caressait avec, faisant encore grimper son désir à elle en même temps que son impatience. "Tu veux que je te prennes?" Il posait la question en connaissant la réponse "Oui" murmura t elle. "Je n’ai pas entendu" lui répondit il tout en continuant à la caresser de son gland. "Oui, oui! Prends moi, tout de suite!" Elle n’en pouvait plus d’attendre, elle le voulait, maintenant, dans toute sa virilité. Et elle cria presque quand il s’introduisit en elle d’une poussée puissante. Il la tint fermement par les hanches avant de commencer à la besogner furieusement. Elle sentait ses testicules claquer contre elle à chacun de ses allers retours. ...
    ... Il la possédait de toute sa longueur et de tout le diamètre de sa queue. Elle haletait sous chacun de ses coups de butoir. Fiché en elle, il la fit reculer ses jambes. Elle prit appui sur le mur avec ses bras pliés et il recommença à la baiser de plus belle. Les bruits de leur respiration faisaient écho à ceux de leurs corps claquant l’un contre l’autre. Il lui faisait l’amour comme si c’était la dernière fois, comme s’il n’y avait pas de lendemain. Et ils aimaient ça. Elle déplia son bras pour éteindre du bout des doigts l’interrupteur. Ils étaient entièrement dans le noir. Il n’y avait plus qu’eux, rien n’existait d’autre dans l’univers à ce moment précis. Greg variait maintenant le rythme, passant de grandes saillies puissantes à des mouvements plus lents, plus doux, plus profonds. Il aimait aller le plus loin possible en elle, doucement, et se ficher de tout son membre dans son sexe chaud et trempée. Il la sentait se contracter, trembler, gémir sous ses efforts. Il sortit d’elle, la ramena face à lui, et la serra dans ses bras affectueusement tout en l’embrassant sur son front. Elle aimait également ses moments ou il se montrait incroyablement touchant et protecteur. Il était homme dans toute sa globalité, à la fois mâle animal et humainement sentimental. Il la prit par la main et se rendit vers sa chambre. Il la laissa entrer la première, comme il le faisait toujours, sans même s’en rendre compte, et elle monta sur son lit en s’y glissant à quatre pattes, sentant malgré ...