1. Association de bienfaiteurs


    Datte: 09/10/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, campagne, jalousie, Oral pénétratio, humour,

    ... son amie. — Alors ?— Super ! Jeanneton n’a pas menti. Fanchon court vers le petit bois. Elle débouche dans la clairière au moment où Jean-Marc termine de se réajuster. Il s’approche de la nouvelle venue. — Comment vous appelez-vous, belle inconnue qui venez me surprendre ?— Fanchon, répond celle-ci, qui regarde avec inquiétude les trois autres garçons.— Ne faites pas attention à eux, ils ne nous gêneront pas, n’est-ce pas vous autres ? Vous vous appelez Fanchon ? Quel joli nom ! Il vous va à ravir ! Que faites-vous dans ce village, mademoiselle Fanchon ? oooOOOooo Jean-Paul vient à peine de céder la place à Jean-Luc, qui commence à soulever le jupon de la jeune fille, lorsque Lison se pointe à la lisière de la clairière. La jeune fille n’a pas eu la patience d’attendre le retour de Fanchon en compagnie de Jeanneton et Suzon toutes pleines de leur aventure, pour bénéficier à son tour des services des jeunes gens. Un instant interloqué Jean-Paul comprend qu’il doit modifier l’ordre de passage. Pas question que cette nouvelle proie attende que Jean-Louis ait baisé la ...
    ... précédente ! Il se précipite et entraîne la nouvelle venue dans un coin isolé de la clairière. — Comment vous appelez-vous, belle inconnue ?— Euh… Qu’est-ce qu’il lui fait ? s’étonne Lison en voyant Jean-Luc la tête entre les cuisses de Fanchon.— Laissez-les donc s’amuser et dites-moi plutôt comment vous vous appelez.— Lison, répond-elle en cherchant à voir le couple allongé.— Lison ? Quel joli nom ! Il vous va à ravir ! Que faites-vous dans ce village, mademoiselle Lison ? Celle-ci reste imperméable à son discours et cherche à deviner ce que font Fanchon et le garçon. Jean-Paul presse le mouvement et colle un baiser ventouse qui, enfin, retient l’attention de la jeune fille. Pendant qu’il embrasse savamment la belle, il cherche des yeux qui doit venir le remplacer. Personne en vue. Il ne peut éterniser les embrassades, aussi décide-t-il de passer à l’étape suivante : le pelotage de la poitrine. — Zut, murmure-t-il, on n’a qu’une couverture et elle est occupée. Tant pis !— Qu’est-ce que tu dis ?— Tu embrasses bien, tu sais !— Mieux que mes amies qui sont venues avant moi ? 
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