Le chauffeur de bus, les passagers et moi.
Datte: 20/08/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
grp,
inconnu,
grosseins,
bus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
ecriv_f,
... J’hesite. Je n’ai jamais eu deux orgasmes à suivre. Je doute que je puisse encore jouir. Pourtant, je me dois bien de le remercier comme il se doit. Lui n’a pas joui. Je m’installe sur lui, descendant lentement sur son sexe. Le mien est encore ultra sensible de l’orgasme que je viens d’avoir. Lorsqu’il écarte mes chairs, je me prends à tressaillir de plaisir. Sylvain se saisit de mes seins, se met à les sucer et les lécher tandis que je bouge doucement mon bassin. Son sexe me remplit complètement. Je glisse et coulisse sur lui, mes mains posées derrière moi sur ses genoux. Mon clitoris frotte contre son pubis et ses poils favorisent la montée de mon plaisir. Par instants je le sens tressaillir et ses dents mordillent un peu plus mes tétons. Ses muscles se contractent de plus en plus, ses gémissements accompagnent les miens. Je sens que je vais jouir une nouvelle fois. Sylvain n’en est pas loin non plus. J’accélère les mouvements de mon bassin. Son membre vient frapper le fond de mon vagin et chaque secousse envoie des ondes de plaisir dans tout mon corps. Sylvain s’aggrippe au siège derrière moi et commence à donner, lui aussi, des coups de bassin de plus en plus précipités. Je passe mes bras derrière son cou. Son sexe frotte les parois de mon vagin avec ferveur. Je n’en peux plus. Je sens que je viens. Une nouvelle fois, mon sexe se contracte de jouissance, je laisse échapper un cri alors qu’une chaleur me monte du ventre. Les contractions de mon vagin ont dû le rendre plus ...
... étroit autour du membre de Sylvain. Il s’arque aussi, son bassin donnant quelques coups décisifs. Il pousse un râle de plaisir. Epuisés, nous tombons dans les bras l’un de l’autre. Nos corps sont brûlants, palpitants encore de plaisir et de bonheur. Sylvain me caresse le dos et j’ai enfoui ma tête dans son cou. Nous tentons de reprendre notre souffle. Doucement, je me lève, sentant son sexe coulisser lentement hors de mon vagin, et je m’assois sur le siège opposé, couvrant instinctivement ma nudité à l’aide de mon pull. Mes yeux se posent alors sur l’avant du bus. Nos trois compères sont encore liés les uns aux autres. La femme chevauche farouchement le chauffeur tandis que le compagnon de Sylvain la sodomise avec ferveur. Ses cris de plaisir résonnent dans tout le véhicule. Je ne les avais pas remarqués jusqu’alors. Le spectacle est d’un erotisme torride. La femme saute et tressaute sous les à-coups de plus en plus violents de ses partenaires. Ses mains sont aggripées à l’arrière du siège sur lequel le chauffeur est assis. Elle semble peiner à se tenir. Mais ce qui m’excite surtout, ce sont ses seins. Ils sont beaux, bien ronds et bien volumineux et le spectacle qu’ils offrent ne laisseraient pas indifferents beaucoup de monde. Ils gigotent dans tous les sens, se débattent avec frénésie comme s’ils voulaient s’échapper, ils se frappent parfois l’un contre l’autre. Leur mouvement est violent, envoûtant. J’ignore ce qui me prend mais je me lève et me dirige vers eux, les yeux ...