Sophie
Datte: 20/08/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Oral
69,
fsodo,
init,
... chez elle. C’est lui qui l’a déshabillée, elle sent qu’il la désire vraiment, il n’est plus le professeur, mais l’amant. Après l’avoir allongée, il s’est occupé d’elle. Il a honoré les petits seins, les amenant à une tension extrême. Il a glissé le long du torse puis a préparé le futur champ de ses exploits. De la langue il a su exciter le clitoris qui s’est dressé comme une petite bite. Puis les doigts ont exploré la fente. Un deux puis trois. Elle ruisselle et gémit de bonheur. Sa mouille coule le long du périnée, vient mouiller l’arrière. Le pouce vient masser doucement la rondelle, en cercles concentriques, appuie un peu dessus, s’enfonce un brin, s’agite, progresse et bientôt est planté à fond. Par un mouvement alternatif, il mime une pénétration. Sophie toute à son bonheur apprécie la manière dont elle est prise. Pascal sent bientôt qu’elle est prête à jouir. Il se redresse, vient appuyer son sexe contre les lèvres, s’enfonce un peu, ressort, descend, appuie sur l’anus, masse de la queue l’endroit où se trouvait son pouce. Il pousse doucement. Elle proteste, prend l’outil en main et le met en place. Ils se baisent avec volupté, quand il sent monter le plaisir féminin, il ralentit, puis reprend. N’y tenant plus, elle décolle son bassin pour lui prescrire d’accélérer. Et c’est un galop final pour le plaisir des deux. Elle est bien dans ses bras, ivre de plaisir. — C’était bon, lui demande-t-il.— Oh oui merveilleux. Rien de meilleur qu’une bonne queue en moi. Mais ...
... maintenant fini pour quelques jours.— Mais non, les amantes savent donner du plaisir, même pendant ces périodes.— Ah oui, une bonne pipe.— Mais non, une pénétration, mais par la porte arrière.— Se faire enculer ! Jamais de la vie !— C’est pourtant à cela que l’on reconnaît les femmes expérimentées.— Mais ce doit être horrible !— Tout à l’heure, tu avais bien mon pouce dans le cul et tu aimais bien.— Oui, mais un pouce ce n’est pas bien gros.— Oui, tu as raison, tu manques encore d’expérience. Bon, alors repos pour une semaine.— Mais non, je te sucerai, tu te videras dans ma bouche.— Bon je m’en vais, à demain. Elle a difficilement trouvé le sommeil. Elle a fait des cauchemars se voyant empalée sur des piquets énormes et s’est réveillée en sueur. Elle a passé son week-end chez ses parents, heureuse de se retrouver en famille. Pourtant l’idée de rester la semaine sans recevoir Pascal, d’être privée de caresses, la travaille. De retour, pendant deux jours elle a travaillé consciencieusement, mais elle reste tendue. Par contre, Pascal est naturel, mais elle ne sait que faire. Un soir, n’y tenant plus elle l’invite. — Juste pour le repas, il y a quelques jours que nous n’avons pas été ensemble.— Oui, pourquoi pas, mais je rentrerai bonne heure.— Si tu veux. Le soir elle l’a accueilli dans une tenue particulièrement suggestive. Robe courte, largement décolletée, sur son corps nu, et cela se voit au premier abord. Il est arrivé toujours souriant, avec un bouquet, l’a félicitée pour sa ...