Sophie
Datte: 20/08/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Oral
69,
fsodo,
init,
... tenue. — Tu es très excitante, quel dommage qu’il faille rester sage.— Mais pourquoi, tu sais que je peux te donner du plaisir.— Inutile, nous en avons parlé l’autre fois, ce n’est pas grave, je trouverai ailleurs. Durant tout le repas, il a été, comme à l’ordinaire, charmant. Mais après le café, il a regardé sa montre, lui a dit : — Eh bien merci, c’était très bon. Encore mes félicitations pour ta tenue, elle m’a mis dans un drôle d’état, il me faut vite partir.— Non, reste, je te donnerai quand même du plaisir. Regarde. Et elle baisse le haut de sa robe, présentant des seins petits mais fermes, vraiment excitants. Il la regarde, les yeux fixés sur cette offrande. S’approchant, elle les lui présente, les tenants dans ses mains, comme deux fruits à déguster. Il a baissé la tête, est venu poser un baiser sur ces merveilles. Elle a fait tomber sa robe, se collant contre lui. Elle sent son désir contre son ventre, de la main le caresse. Deux mains empoignent les fesses et soulèvent, plaquent le corps, les mamelons à hauteur de la bouche. Les bras de Sophie serrent la tête pour accentuer la caresse. Il porte ce corps si tentant sur le lit, le dépose précautionneusement, puis se déshabille fiévreusement, éparpillant ses vêtements. Il plonge sur cette poitrine et lui fait subir le plus délicieux des supplices. Quand il se redresse, elle saisit son sexe tendu à l’extrême et vient l’emboucher. Debout les yeux fermés il la laisse agir. Elle veut lui donner du plaisir, l’absorber ...
... tout entier, que son nez touche le pubis, et avaler tout son plaisir, ne laisser échapper aucune goutte. Soudain, brutalement, il s’arrache, repousse la tête. — Non, pas comme ça, je ne veux pas. Laisse-moi partir.— Reste, je t’en supplie. Tant pis, encule-moi.— Non, je te respecte trop, je ne veux pas te faire souffrir.— Si, prends-moi. N’importe comment, un jour un autre me le fera. Viens, je t’en prie. Elle se met à quatre pattes, sur les genoux et lui présente son offrande. Ce cul, si beau, ces fesses rondes sont terriblement tentantes. Il se baisse et sa langue vient goûter ce bourgeon particulier. Sa main va chercher le clitoris et commence à le travailler. Sophie est crispée, elle essaie de relâcher ses muscles. La caresse nouvelle est agréable, elle essaie d’oublier ce qui va se passer. Comme la fois précédente, un doigt tourne autour du bourrelet, essaie de s’enfoncer, repart dans des cercles caressants. Imperceptiblement, il s’enfonce, joue d’avant en arrière. Il ressort, un deuxième doigt vient s’y adjoindre et pénétration reprend, pas très douloureuse. Elle a peur de trop souffrir, alors elle lui dit : — Dans le tiroir, la vaseline. Elle a décidé de se sacrifier. Il sort le tube muni d’un embout spécial, l’enfonce à la place des doigts, le presse, répandant la pommade. — Viens maintenant, doucement. Saisissant les hanches il présente son sexe face à la cible. Par petits coups il avance, régresse, progressant à chaque fois de quelques millimètres. D’un coup, c’est le ...