1. Sophie


    Datte: 20/08/2020, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail Oral 69, fsodo, init,

    ... relâché. — Sophie, ce que tu viens de faire est très agréable et je l’apprécie beaucoup. Mais te rends-tu compte que j’ai vingt ans de plus que toi, tu n’as pas affaire à un copain de fac et, en plus, nous sommes au travail.— C’est vrai, mais j’en avais envie. Et puis tu es beaucoup plus beau que ces jeunes cons et je suis sûr que tu as beaucoup plus d’expérience.— Mais, en plus de la différence d’âge, il y a notre situation professionnelle. Et puis si je suis encore célibataire, c’est que je ne veux pas de liaison durable.— Moi non plus, c’est simplement un moment agréable pendant les vacances.— Mais tu as un copain, je crois, cela ne te dérange pas ?— Non, il en fait probablement autant ce son coté.— Bon, si tu veux. Mais je te préviens, ce n’est qu’un moment agréable.— C’est ainsi que je le vois.— Alors, merci pour ce baiser. Mais, sans vouloir te vexer, on sent ton manque d’expérience, un véritable baiser, c’est autre chose. Et la prenant dans ses bras, il lui fait une démonstration. Que fait-il, comment fait-il, elle n’en sait rien. D’entrée elle est subjuguée par l’habilité de la langue qui vient taquiner la sienne, qui vient… elle ne sait plus. Quand il la relâche, elle s’appuie au bureau, véritablement ivre de plaisir. — Voilà une manière d’embrasser. Maintenant, il faut se mettre au boulot. C’est vraiment la première fois que l’on m’embrasse. Jamais je n’avais ressenti cela. Et pour lui, c’est seulement un moment agréable, il n’y attache aucune importance. On va ...
    ... voir comment il réagira tout à l’heure. Première montée aux archives. Comme à l’ordinaire, il y a des dossiers à classer au plus haut. Les yeux de Pascal suivent avec intérêt l’ascension. Pourtant il reste immobile quand elle arrive en haut. Il a devant les yeux un spectacle libre de tout voile. Sophie attend une réflexion, un geste, mais toujours rien. Elle redescend dépitée. — Tu ne m’as rien dit aujourd’hui, le spectacle ne t’a pas plu ?— Si, il est magnifique, il y a très longtemps que je n’avais rien vu d’aussi beau. Mais dis-moi, pourquoi me provoques-tu ainsi ?— Parce que j’ai envie que tu t’intéresses à moi d’une manière plus sérieuse, tu voulais que je te le dise, c’est fait.— Cela me fait peur. Je me doute que tu n’es pas une oie blanche, que tu as connu des hommes. Mais un homme de mon âge a des envies, une expérience qui ne s’acquiert qu’avec le temps et qui peut surprendre une jeune femme comme toi.— Ça ne fait rien, j’apprendrai.— Nous verrons, mais en dehors des horaires de travail, d’accord.— Quand tu veux. Toute la journée, ils ont abordé toutes sortes de sujets, mais rien en ce qui concerne la sexualité. Il a été seulement question de travail. Sophie est stupéfaite de le voir garder un tel calme. Au moment de partir, il l’embrasse sur les joues, lui dit : — Ce soir, je t’invite au restaurant, pas dans le bouiboui d’à midi. Je passe te prendre dans une heure.— Je serai prête. Enfin, il s’est décidé, j’ai ferré mon poisson. Il s’agit de ne pas le lâcher. Elle ...
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