Sophie
Datte: 20/08/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Oral
69,
fsodo,
init,
... attendait le coup de sonnette derrière la porte. Elle a ouvert, devant elle un homme décontracté certes, mais du genre sérieux, qu’elle trouve magnifique. Lui aussi est surpris. Une petite robe claire, courte mais sans excès, la jeune fille gentille qui a de la classe. Restaurant chic, des hommes d’affaires, des couples probablement illégitimes, quelques retraités aisés. Une table leur est réservée. Un coin discret sans être caché. — Tu veux choisir le menu ou bien tu me laisses l’initiative ?— Fais comme pour toi, à condition que ce soit assez léger, je tiens à ma ligne. Son choix s’est révélé excellent, c’est délicieux. Leur conversation a surtout porté sur la vie estudiantine, il lui a raconté quelques anecdotes amusantes. C’est un conteur formidable. À la fin du repas, il lui dit : — Je te raccompagne ?— Naturellement. Elle n’a attendu que ça toute la journée. Maintenant à elle de jouer. La voiture s’est arrêtée devant la porte en double file. Sophie se trouve prise de court. — Bon, eh bien à demain, dors bien.— Mais, tu ne viens pas prendre un dernier verre ?— J’ai déjà pas mal bu, je ne veux pas me faire prendre en cas de contrôle.— Allez viens, nous ne boirons pas. Il y a une place un peu plus loin.— Bon, comme tu veux. Ils sont montés, lui le premier en gentleman. Énervée, elle n’arrivait pas à mettre la clé en place. Aussitôt entrés, elle s’est jetée à son cou, fermant la porte d’un coup de pied. Et le miracle du matin s’est renouvelé, elle ne sait pas combien a ...
... duré le baiser, mais il a été trop court. Quand il a desserré son étreinte, elle l’a entraîné dans la chambre, il s’est installé sur la chaise, a attendu. Elle a baissé la fermeture éclair, sa robe est tombée, elle est nue. Le regard masculin s’est attardé longuement sur ce corps parfait. Mais la mine est un peu ironique. — Tu es magnifique ainsi, peu de femmes peuvent rivaliser avec toi. Tu es la perfection. Mais il ne suffit pas d’avoir une œuvre d’art, il faut la valoriser. Certes l’apparition soudaine est un choc émotionnel, mais une maîtresse aurait préféré dévoiler ses appâts après s’être fait désirer. Mais cela n’est pas grave. Et maintenant ?— Je veux que tu m’apprennes l’amour, le vrai, celui d’un homme d’expérience.— Tout est affaire d’approche. Maintenant, il faut déshabiller l’homme, à moins qu’il ne préfère le faire lui-même. Sophie préfère opérer elle-même, ce qui semble plaire à son partenaire. À l’apparition de son sexe déjà à demi dressé, elle s’arrête un instant. Pas d’organe démesuré, mais une bonne moyenne. À genoux, elle commence une fellation. Le prenant en bouche, elle en absorbe le maximum, puis le fait coulisser entre ses lèvres. Cette manœuvre l’affermit, elle accélère alors le mouvement de sa tête. Un long moment, elle manœuvre. Lui prenant la tête il l’immobilise, se retire. Elle pense l’avoir amené au point extrême. Il l’allonge alors sur le lit et à son tour prend l’initiative. Les petits seins fermes sont d’abord admirés, puis embrassés, caressés ...