Sophie
Datte: 20/08/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Oral
69,
fsodo,
init,
... par les mains de Pascal. Se baissant il les baise doucement, saisit la pointe. Elle ne sait plus ce qu’il fait, sucer, pincer, mordre, tout cela à la fois, c’est bon. Sa main descend sur le buisson, explore les lieux. Quand il sent se dresser le bourgeon, sa bouche vient se substituer à la main. Et c’est une farandole autour de ce point central. Les doigts secondent la langue, entrent en elle, sa rosée facilitant la pénétration. C’est une masturbation divine. Un pouce humide vient frictionner le périnée, se glisse en arrière appuie doucement sur la rondelle dans un mouvement tournant. L’effet est magique et déclenche un feu d’artifice. Elle crie son bonheur. Il se relève souriant, satisfait de la voir comblée. — Viens maintenant, prends-moi, je t’en prie.— Attends, il nous faut nous préparer. Il s’allonge tête-bêche contre elle, la fait basculer au-dessus de son corps. Elle a à nouveau ce sexe qu’elle désire tant. Consciencieusement elle reprend sa succion, essayant de l’introduire au plus profond de sa gorge. Sa langue virevolte, vient agacer le gland, irritant le frein. Mais elle se redresse. Les caresses ont repris et, à nouveau, Pascal s’occupe de son clitoris, de son vagin, de tout, les doigts reviennent la pénétrer. Pointant comme une alène, sa langue gratte l’entrejambe, remonte vers son anus. Et tel un petit pénis tente de pénétrer ce lieu interdit. Pour la première fois, elle laisse un homme toucher cette partie d’elle-même. Et au lieu de protester, elle accepte ...
... cette tentative d’introduction, se détendant pour la faciliter. De la main appuyant sur sa tête, Pascal l’invite à continuer à graisser son poinçon. Elle vogue sur un nuage, ne sait plus ce qu’elle fait. Son homme l’allonge, rapidement place un préservatif pris d’on ne sait où, vient se placer au-dessus d’elle. — Viens, je t’en prie, le supplie-t-elle. Il s’enfonce lentement, bien à fond, reste immobile. Elle est comblée. Après quelques instants, il commence à remuer. Son rythme s’adapte aux envies de Sophie. Elle veut qu’il accélère, il le fait sans qu’elle n’ait dit mot. Sentant que le plaisir arrive, il ralentit, sortant de cette caverne chaude, du bout de son sexe vient caresser l’anus de sa maîtresse, sans trop appuyer. Puis il revient continuer son manège. À un moment elle n’y tient plus, replie ses jambes sur les reins de son cavalier et du talon l’éperonne. C’est un orgasme fabuleux, jamais elle n’avait connu un tel déchaînement. Elle reste inerte, savourant son bonheur. Il est parti dans la salle de bain. Comment a-t-il su où elle se trouvait ? Elle reste allongée, merveilleusement bien. Il revient à côté d’elle, la prend dans ses bras, lui baise le cou, les lèvres. — Oh, comme j’en avais envie. Et toi qui ne te décidais pas !— Tu es très jeune, de plus je suis ton patron, je ne voulais pas mélanger travail et plaisir.— Mais c’est quand même merveilleux ce que nous venons de vivre.— Oui, pas mal.— Comment pas mal ?— Ta spontanéité, ta beauté, tout cela est bien. On sent ...