-
Les visites d'Annie
Datte: 23/08/2020, Catégories: fh, jeunes, extracon, amour, jalousie, Masturbation pénétratio, init, journal, prememois,
... difficile. Surtout pour moi car je n’arrive pas à débarrasser mon esprit des pensées lubriques qui m’assiègent dès que je suis à côté d’Annie. Tout à coup la porte s’ouvre sur Lucie dénudée. — Jean ! Il faut que t’aille chercher de l’eau minérale.— Lucie ! Voyons ! Je t’avais demandé de faire attention !— À quoi ? Oh ! A ça ? Elle fait semblant d’effacer une poussière sur ses seins fièrement dressés. — Excuse-moi, j’ai oublié. Je n’en crois pas un mot. Je suis sûr qu’elle l’a fait exprès pour embêter Annie qu’elle semble ne pas porter dans son cœur. — Je n’ai pas fini de réviser. Tu ne peux pas demander à Jacques ?— Il n’est pas encore rentré. Ton père en a besoin, ne tarde pas.— Vas-y, Jean, propose ma copine, nous terminerons après.— Merci, mademoiselle, admet Lucie. Annie fixe le battant qui se referme. — T’as vu ? Elle… Elle est toute nue !— Euh… Oui. C’est une habitude que nous avons à la maison. Dès que nous rentrons nous nous déshabillons. Je leur avais demandé de ne pas le faire par égard pour toi. Cette sotte m’a désobéi.— Oh ça me dérange pas… Alors, quand tu travailles dans ta chambre, tu es tout nu ?— Oui, dans ma chambre et le reste de la maison, sauf en hiver où nous passons une robe de chambre.— C’est pas gênant ?— Non, c’est naturel pour nous et je dois avouer que ça me manque.— Pourquoi tu te déshabilles pas alors ?— Là ? Maintenant ?— Ben oui puisque tu dis que c’est naturel.— Euh… Je ne voudrais pas te choquer.— S’il te plaît… Ah oui, c’est vrai, tu ...
... dois sortir. Promets-moi que tu te déshabilleras à ton retour.— Tu veux… vraiment ?— Oui et pour te le prouver je vais faire comme tout le monde. Annie dégrafe sa jupe qu’elle plie sur une chaise. J’assiste ravi à son strip-tease, maladroit certes, mais tellement émouvant. Après avoir ôté le dernier dessous, elle tourne sur elle-même. — Tu me trouves jolie ?— Tu es merveilleuse ! Je veux l’enlacer, elle se dérobe en riant. — Vas vite faire la course pour ton père, je t’attends. Elle tient à m’accompagner jusqu’à la porte d’entrée. Nous croisons Jacques qui revient du travail. Il sourit de toutes ses dents : — Je vois avec plaisir, Jean, que ton invitée adopte les usages en cours dans cette maison.— Je ne voulais plus me singulariser, explique Annie.— Soyez-en remerciée. N’est-ce pas, Antoine ? lance-t-il à l’adresse de mon père que la bonne pousse dans le vestibule. Lui aussi est nu comme lorsqu’il n’y a pas d’étranger à la maison. Ma parole, Lucie et lui se sont donnés le mot ! Je vais leur reprocher, mais je me tais, ils ont eu raison puisque cela me vaut le plaisir d’admirer ma copine dans toute sa splendeur. — Va vite faire les courses, me dit-elle, ton père me tiendra compagnie en ton absence.— Je me mets tout de suite en tenue et je vous rejoins, annonce Jacques en entrant dans sa chambre. Annie a charmé la maisonnée, tant mieux. Je me dépêche de descendre au garage… Je mets plus de temps que prévu. Les deux premiers magasins visités n’avaient pas la marque que mon père ...