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Les visites d'Annie
Datte: 23/08/2020, Catégories: fh, jeunes, extracon, amour, jalousie, Masturbation pénétratio, init, journal, prememois,
... préfère. J’ai du aller à l’autre bout de la ville pour en trouver. Je range les packs d’eau à leur place habituelle et monte avec deux bouteilles que je donne à Lucie. — Merci. Elle en décapsule une pour remplir un gobelet qu’elle tend à Papa. Il a l’air tout excité. — Me..mer…mer…mer…merci.— Où est Annie ? D’un coup de menton, Lucie désigne la chambre de Chloé. — Qu’est-ce qu’elle fait ? Elle hausse les épaules. — Demande-lui. Papa tousse en s’étranglant de rire. Pris d’un horrible soupçon, je fonce dans la chambre de ma sœur. Je reste cloué sur le seuil, pétrifié par le spectacle : Elle est bien là, mais pas seule ! Annie, mon Annie que j’osais à peine toucher de peur de l’offusquer, gémit à quatre pattes sur le lit pendant que Jacques la pilonne de furieux coups de rein. — Ah ! Tu es là !… Appr… Approche !— Oooh ! Nooon ! gémit Annie.— Mais si !… Aah !… Approche !… J’en ai… plus… pour… longtemps, ahane-t-il d’une voix entrecoupée par l’effort. Je suis tétanisé, incapable de bouger au bord de l’écœurement sans pouvoir détacher mes yeux de l’horrible vision. Je sens que l’on me déshabille. Une main entoure ma queue dressée. J’entends dans un brouillard la voix de Lucie, car c’est elle qui s’occupe de moi, claironner avec envie. — Mais c’est qu’il est puceau ! Elle en a de la chance, Annie ! Jacques, ce salaud qui renchérit ! — Oui… Tu entends… Annie… Tu as la chance… de t’offrir… un puceau ! Ils gémissent de conserve avant de s’effondrer. Ils restent immobiles plusieurs ...
... secondes. Je suis toujours incapable du moindre mouvement et laisse Lucie maintenir mon excitation par une douce masturbation. Puis Jacques se relève. — À toi maintenant, elle est prête.— Ooh ! Noon ! Malgré sa dénégation, Annie reste sur le lit, les fesses offertes. Malgré moi je ne peux m’empêcher de l’admirer, splendide d’impudeur. On me pousse. J’arrive à avancer d’un pas, puis de deux. Les fesses m’attirent comme un aimant. Une main secourable guide ma queue en bonne position. Je m’enfonce dans un océan de douceur. — Vas-y maintenant, fais la jouir ! m’encourage Jacques. Non ! Je ne veux pas faire l’amour dans un con qui vient de recevoir la queue de mon beau-frère ! Je veux m’enfuir, loin de cette chambre, loin de la maison, loin d’Annie. Mon esprit m’ordonne de me retirer, mais mon corps n’obéit pas. Au contraire, je pénètre encore plus profond, déclenchant un profond soupir d’Annie qui agrippe le dessus de lit. Je trouve d’instinct les mouvements ancestraux de l’accouplement. — Tout va bien, on peut les laisser, annonce mon beau-frère. Oh ! Ils ne me dérangent pas ! Ils peuvent rester si ça les chante, ce n’est pas ça qui va m’empêcher de faire l’amour. Non, de baiser Annie, car ce n’est pas l’amour ce qui me dirige en cet instant, mais une pure bestialité. Il doit en être de même pour elle qui miaule comme une chatte en rut. Malgré ma rancœur, je succombe au plaisir, plaisir divin, incomparable. La douceur du vagin enveloppe la verge d’une étreinte onctueuse. Les ondes ...