1. Samuel et Stéviana


    Datte: 24/08/2020, Catégories: hh, couleurs, prost, grossexe, anniversai, amour, volupté, Transexuels Oral hdanus, hsodo,

    ... et je lui ai hurlé que si j’apprenais qu’il avait fait une autre chose de ce genre, je l’attacherais au pied de son lit pour le restant de ces jours… s’il y survivait ! J’ai planté les enfants là, et je suis montée à l’appartement que louaient ses parents. Ils m’ont écouté leur raconter les faits, mais n’ont accepté aucun remerciement, d’aucune sorte. J’étais folle de rage, et je leur ai ordonné d’accepter de venir dîner le soir même. Des restes de cette ancienne rage poussaient Geneviève à accélérer sa conclusion. — Tu t’rends compte, c’est tout juste si j’ai pas dû les traîner de force dans notre salon, alors que leur fils avait sauvé le mien, a-t-elle interpellé la jeune fille, la prenant à témoin.— C’est pas ton fils, a crié Raymond, de sa cuisine.— SI, C’EST MON FILS, a crié aussi sa femme, mais plus fort. Je l’ai élevé toute sa vie, je pense que ça en fait mon fils, non ? a-t-elle conclu en s’adoucissant.— Pourquoi, ils ne voulaient pas de vos remerciements ?— À cause du Talmud, qu’ils m’ont dit… parce que cette stupide loi interdit à tout juif de les accepter ! J’ai vu Jennifer se raidir sur sa chaise et tourner la tête vers moi. Elle m’a regardé méchamment. Elle savait. Elle a ouvert la bouche et je me suis dit : "Mon compte est bon !" mais elle l’a refermée sans rien dire. Un sourire rusé s’est étiré sur sa bouche, tandis que l’expression de ses yeux ne changeait pas. J’ai compris que très prochainement, dès qu’elle en aurait l’occasion, elle allait s’occuper de ...
    ... mon cas. Mais elle s’est adoucie et a pris ma main dans les siennes, comme pour effacer la menace qu’elle m’avait adressée. — En tout cas, je te remercie de l’avoir sauvé… vraiment.— Oh, t’as pas à le faire, ces trois-là s’en chargent bien assez, lui ai-je répondu, gêné. Luc a proclamé qu’il me considérait comme son frère et ce n’est rien à côté de ce qu’a fait madame Geneviève !— Samuel, tu sais très bien que j’ai horreur que tu m’appelles comme ça… ça fait mère-maquerelle !— D’accord… pardon, lui ai-je répondu, vaincu d’avance. Mais j’ai continué, et malgré moi : — D’accord je le ferai plus, madame !— Samuel, si tu m’appelles encore une fois "madame", je dis à tous le monde que tu es juif et que tu bois de l’alcool, c’est compris !— Mais j’bois pas d’alcool ?— Ah oui, et la liqueur de prune, tu vas m’dire que c’est le lait d’une bestiole particulièrement bourrée, c’est ça ? Luc a éclaté de rire et Jennifer a pouffé et s’est penchée sur la table. — Sam, qu’est-ce qu’elle a fait, madame Geneviève ? m’a-t-elle demandé en réprimant le fou-rire qui la gagnait.— Voilà qu’elle s’y met elle aussi, a pleurniché la concernée. Mais qu’est-ce que j’ai bien pu faire au Bon Dieu, l’a-t-elle invoqué, les yeux au ciel.— Ben, quand mes parents se sont présentés pour avoir leur note, à la fin des vacances, l’accueil a été plutôt froid. D’ailleurs, elle leur a dit, froidement : "Si vous posez quoi que ce soit sur ce comptoir, je le réduis en miettes devant vous, carte de crédit, chèque ou ...
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