1. Ce que le progrès rend possible


    Datte: 24/08/2020, Catégories: fh, ff, cocus, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Oral Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sf,

    ... publique. Ce qui a été le scandale de cette deuxième partie de siècle s’est transformé en une source inépuisable de fichiers personnels et très privés. Comme tout le monde était dans le même pétrin, on a vite fait semblant d’oublier le côté très intime de ces documents. Je pense avoir été un des premiers à les utiliser. Pour la réalisation d’un fantasme que beaucoup d’hommes espèrent, peut-être pas le réaliser vraiment, mais au moins le vivre par la pensée ou virtuellement. Ce fantasme, c’est de voir sa femme, son amie dans les bras d’un autre. À l’époque, j’étais accro à un film érotique – en 3D, évidemment – ou l’on voyait une épouse qui se sentait délaissée chercher l’aventure. Les décors étaient superbes, les vêtements élégants, les actrices et acteurs très séduisants, l’histoire réaliste, mais surtout la progression dans la perversité de l’épouse la montrait dans des situations de plus en plus chaudes où le partenaire du départ cédait la place à plusieurs acteurs qui mettaient la femme (avec son accord) en position de subir les assauts de plusieurs mâles. Déjà à l’époque, le film était fourni sous forme de fichiers/documents. Chaque acteur avait son fichier, chaque scène le sien, sans parler des décors, des vêtements, de la musique, des dialogues, etc. Remplacer celui de l’actrice par celui de Viola, mon épouse, fut étrangement facile. Je crois me souvenir que mon "Quant II" mit seulement une heure pour faire les ajustements nécessaires, et pourtant on peut imaginer la ...
    ... complexité de remplacer un corps par un autre tout en lui conservant sa souplesse, ses mouvements. C’est d’autant plus complexe que la plupart du temps, dans ce film, l’actrice est filmée en gros plan. Pour les détails, expressions du visage, voix, mon ordi m’a dit qu’il le ferait en temps réel. Et j’ai commencé le visionnage. Je suis resté sur le cul. C’était bien ma femme, cette épouse frustrée et infidèle, franchissant à chaque fois une étape dans une sexualité débridée. Même les expressions du visage étaient parfaites. Il est vrai que son fichier personnel contenait toute une série d’expressions que l’optionÉros permettait. J’imagine que "Quant II" faisait le reste. La première fellation, dans les toilettes d’un café, m’a sautée aux yeux. C’était bien sa bouche. Et les lèvres qui couraient sur la queue de l’homme étaient bien les siennes. Je pouvais en reconnaître la forme, l’ourlet. Et que dire de ce regard qu’elle échange avec son amant alors qu’elle lèche puis aspire le gland pour en recueillir chaque goutte ? La scène suivante est une rapide baise contre un arbre dans un jardin public où l’on peut les surprendre. Il est loin, le temps où la 3D était limitée à un effet de relief dans les films pornos ! Là, moi je pouvais me déplacer. Me mettre à côté du couple. Les regarder de face, l’arbre disparaissant et me montrant Viola la jupe retroussée, le corsage dégrafé laissant apparaître ses seins que l’homme malaxait. Les seins, ses seins que je connaissais si bien. Les ...
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