Ce que le progrès rend possible
Datte: 24/08/2020,
Catégories:
fh,
ff,
cocus,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
sf,
... Tu as raison. Je te dois la vérité. J’aime cette vidéo. J’aime la progression dans la perversité de cette femme, franchissant étape après étape toutes les possibilités, sautant toutes les barrières pour se retrouver libre et se donner aux autres sans retenue, sans remords, et associant son mari à ses orgies.— Et cette femme, c’est moi ?— Oui.— Ce n’est donc pas un hasard ou juste une expérience de me glisser à la place de cette actrice.— Non.— Ma seconde question est la suivante. Mais je veux que tu répondes avec sincérité. Notre couple est en jeu. « Mon Dieu, elle me prend pour un pervers… » — Maintenant que tu sais qu’à partir du moment où l’alcool a fait son effet c’est moi qui dirigeais mon corps, que penses-tu ? Nous voici à un point de non-retour. Je suis fautif, et ma femme m’a puni. La vérité. Oui, la vérité : voilà au moins ce que mon travail de chercheur m’a enseigné. — Maintenant que je sais, je pense que je te comprends. Je tergiverse. — Ce n’est pas la question. Elle a raison. — J’ai bien aimé.— Sois plus clair.— J’ai bien aimé comment tu as transformé ces deux soirées.— Alors tu ne me reproches rien ? Je ne suis pas allée trop loin ?— Avant de répondre, moi aussi je ...
... voudrais te poser une question.— Si tu veux.— As-tu eu du plaisir, ou était-ce juste pour me punir?— Oh, mon chéri, si tu savais… Au début, c’était pour te punir et attirer ton attention ; mais très vite je me suis laissée emporter. En plus, tu regardais. C’était divin ! Et la façon dont tu m’as prise après les autres, un bonheur ! Et toi ?— Je bénis le hasard qui a mis cette vidéo sous tes yeux. Je bénis l’alcool qui a rendu cela possible. Moi aussi j’ai aimé chaque seconde, chaque bite que tu suçais, chaque chatte que tu léchais, chaque queue qui te baisait ou qui t’enculait. Et tu sais quoi ?— Quoi donc, mon amour ?— Mets ta plus belle robe, ta plus belle lingerie ; je t’emmène au bar et, crois-moi, nous allons vivre un moment merveilleux.— Tu pourrais peut-être appeler Fleur ?— Tu as raison. Je veux vous voir toutes les deux. Je veux vous posséder l’une après l’autre et regarder tous ces hommes vous faire jouir. Je veux vous voir en salopes quémandant une bite de plus, du foutre plein la bouche, le con, le cul ! Allons, partons, je l’appelle en route.— Chéri, si nous sommes bien sages, aurons-nous le droit de te proposer un de nos amants afin qu’il devienne le tien ? « Ciel ! » — On verra…