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LE MARIN. Et les pics assiettes. (2/4)
Datte: 24/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... des ennuis, la porte s’ouvre. Elle me fait entrer, la tenue qu’elle porte est très équivoque même si je l’ai un peu brusquée pour entrer. Lorsque vous savez qu’un homme qui vous a tenu le long de sa queue en dansant et que vous savez qu’il connaît votre secret sur vos soirées gratuites dans le ou les restaurants pouvez-vous ignorer qu’il a envie de vous, est-ce en peignoir que vous le recevez ? Porte refermée, je l’attire vers moi et je n’ai pas besoin de tirer beaucoup pour qu’elle se colle contre moi. J’envoie ma main directement sous son peignoir et je ne trouve rien pour la protéger d’une éventuelle attaque. Ma bouche trouve la sienne et ma main entre dans sa fente qui ruisselle d’envie. D’elle-même elle arrache carrément le pont de mon pantalon. J’ai déjà parlé de ce pont du pantalon des marins sans dire, comment il est fait. Sur le devant, il est fermé par quatre boutons qui enlevés permettent de le baisser et d’atteindre mes sous-vêtements. Sachant où j’allais et que j’avais préparé le terrain favorablement, j’ai volontairement oublié d’en mettre ce matin et sa main peut directement m’empoigner et voir que je bande comme un taureau. Elle fait tomber son peignoir et dans le mouvement, elle me saute au cou venant présenter sa vulve à mon sexe. En accrochant ses jambes dans mon dos, je la plaque au mur, elle se laisse retomber sur moi pour s’empaler jusqu’à la partie la plus profonde de son intimité. Pour une femme, qui voulait rester fidèle, soit elle vient d’ouvrir les ...
... vannes et souhaite se donner sans retenue, soit c’est déjà une salope qui aime se faire prendre draguant des hommes dès que son mari est parti pour se faire défoncer la chatte. Pour le moment, c’est moi qui la prends ce que j’aime même si au bout d’un certain temps je fatigue de la soulever à bout de bras. Ma venue hier matin me permet de la diriger vers la salle à manger où je peux la poser sur la table et continuer à la labourer. La façon dont elle s’accroche à moi et que ses jambes me crochètent le dos me permet de voir monter en elle le premier orgasme que ma bite lui fournit. Sans dessouder sa bouche de la mienne et faisant tourner sa langue de plus en plus fortement et rapidement au moment où tout explose, elle lâche ma bouche et un cri strident par dans la pièce. Je suis un jeunot dans le domaine du sexe, mais je suis sûr qu’aucune femme ou jeune femme ont ressenti une telle force dévastatrice lorsque notre plaisir a éclaté. J’arrive à me détacher de ses jambes qui sous la force de sa jouissance sont tombées au sol, je la retourne comme une crêpe, je la place les jambes écartées le buste posé sur la plaque de verre composant la table. Un frisson parcourt son épiderme et les petits poils dans son cou se dressent de surprise. J’espère que ses ardeurs sont toujours aussi fortes et que sa chatte est toujours aussi chaude. J’ai tellement rêvé cet instant que malgré le plaisir qu’elle m’a donné une première fois, je bande toujours, je la reprends et suis rapidement rassuré ...