1. Un accident bienvenu (3)


    Datte: 24/08/2020, Catégories: Lesbienne

    Pour rien au monde je ne quitterais cette maison! Cela fait un mois environ que j’y suis, je m’y sens bien et ne vois pas le temps passer. La tâche ne manque pas, j’astique, je polis, je frotte, j’essuie, le soir je suis crevée. Soyons honnête, il n’y a pas que l’entretien qui me fatigue… Irène, la cuisinière est extrêmement tactile. Non seulement elle adore peloter Claire, mais elle s’est enhardie à me pincer les fesses dès qu’elles sont à sa portée, ou bien à carrément passer la main sous ma jupe, l’index folâtrant avec ma raie. A tel point que c’en est frustrant, je le lui ai expliqué. Ce à quoi elle a répondu avec son accent du coin qu’elle ne me laisserait pas en plan, qu’il suffisait d’être patiente. La mimique de Claire fut alors suffisamment éloquente pour que j’aie hâte de passer à la suite… Oui, mais en attendant, le matin, après le petit déjeuner, il faut que je me masturbe. J’alterne les coins de meubles et l’aspirateur. La maison entière doit être imprégnée de l‘odeur de ma chatte. Lorsque le carrossier a rapporté ma voiture réparée, Madame m’a appelée dans son appartement. J’allais redescendre après l’avoir remerciée. — Et bien Léa, cela ne mérite pas un peu plus? avec un grand sourire. — Bien sur, Madame! Maintenant, parfois Madame me sonne et me demande de venir : — Pour notre petite affaire… Bien souvent elle est dans sa chambre, généralement seule, mais pas toujours, et m’attend cuisses largement offertes : — Viens me gamahucher, petite traînée, fourre moi ...
    ... avec ta bonne langue… Lorsqu’elle est accompagnée, elle enjoint parfois à sa complice de me donner une fessée ou bien de me caresser le minet ou la raie, mais c’est toujours elle qui me délivre, de sa main experte… Je peux ensuite aller me changer car elle me maintient la tête entre ses cuisses lorsqu’elle jouit et rares sont les fois ou cela ne tient pas du déluge. En revanche je vois de moins en moins Claire, elle sort beaucoup mais j’ai trop besoin de mes nuits pour l’accompagner. Un matin, Irène m’attend, le petit déjeuner prêt. Elle me tend une enveloppe, la note qu’elle contient nous informe que Madame et sa nièce seront absentes pour une huitaine. Je n’ai pas terminé mon bol qu’ elle est derrière moi et me malaxe les seins. — Tu vois, ça a pas été ben long à attend’. On va pouvoir jouer, depuis l’temps qu’j’attends!!! Un câlin du matin c’est toujours bon à prendre, je me laisse faire. Irène, comment dire… c’est pas Miss France… même pas sa dauphine mais cependant elle a pas mal d’attraits. Elle a quelques kilos en trop certes, mais aussi une très forte poitrine et un joli visage rond, elle est toujours de bonne humeur et selon Claire une vraie salope. J’aime comme elle me pelote les nibards, alterne douceur et brutalité, pince mes tétons à m’en faire mal mais les roule aussi avec tant de légèreté ensuite. Je me laisse aller à cet instant impromptu, je mouillotte en ronronnant, yeux fermés… Soudain elle passe ses bras sous mes aisselles, me soulève pour me poser assise ...
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