1. Un accident bienvenu (3)


    Datte: 24/08/2020, Catégories: Lesbienne

    ... sur le plan de travail. Elle me roule une galoche, sa langue est partout, vite moins vite, elle avale ma salive, me picore la langue, l’insinue dans ma bouche. Hmmm c’est bon, comme on dit dans le Michelin, “mérite le détour”… Elle frotte ses gros nichons sur les miens qui ne font pas la maille à côté, elle me trousse et explore ma culotte. Mince! Elle me pince le clito par dessus le tissu. Maintenant je mouille pour de bon, il faut aller au bout. Ma culotte me rentre dans la fente, elle s’acharne sur mon clitou et la salope, elle va me faire prendre mon pied comme ça. Je ne sais pas ce qui me prend, je lui gifle les nichons de toute ma force, elle aime ça, la vache et continue, tant pis j’envoie tout! Pffou! Je la gifle de plus belle, elle en redemande, ses seins énormes tressautent à peine. Sur le plan de travail traîne une cuiller en bois avec laquelle je lui frappe la poitrine, elle en veut, elle va en avoir la grosse pute! Je la frappe de temps en temps sur les fesses, — Fais voir sur la chatte, chérie, supplie-t-elle Elle a fait tomber sa jupe et roulé son tablier à sa ceinture pour m’offrir son bas ventre. znfzwwig J’ai le visage en feu, je n’ai jamais baisé comme ça, mais putain! que j’aime ça! Elle aussi! De temps en temps je glisse une main sur ses lèvres, elles sont bien mouillées, je branle son clito entre deux doigts, il y a de la prise, mais elle préfère la cuiller. — Ouvre bien ta chatte, grosse truie! J’ai les seins durs à en avoir mal, je suis excitée comme ...
    ... jamais, je vise son bouton, lorsque je le rate, sa chatte étouffe le bruit, et je l’entends gémir. Finalement, elle retient ma main, m’embrasse le cou, le visage. C’est une façon pas banale de s’envoyer en l’air, mais après tout, j’ai apprécié, même si mon clito est bouillant maintenant. — C’était bon, c’était bon, de quoi as tu envie ma chérie? me demande-t-elle à l’oreille — Bouffe moi l’oignon sinon j’explose. A genoux, les fesses à l’air elle me lèche la figue, la fouille, farfouille, trifouille mais ne cafouille pas et elle se pourlèche lorsque je lui crème la langue. Ca a été une sacrée séance. Je suis un peu penaude de m’être laissée aller comme ça, je n’avais jamais ressenti une telle envie de faire mal. C’est une facette de ma sexualité que je viens de découvrir et qui me laisse perplexe. Mais Irène me rassure et dissipe mes éventuels remords : elle a pris son pied bien plus qu’espéré et espère bien recommencer. — Cet après-midi il y a marché, mais si tu veux demain on peut se voir. Je suis pour, bien sur et nous convenons de nous retrouver dans ma chambrette le lendemain après-midi. Je profite de l’absence de Madame pour aller tôt au lit et récupérer. Au petit-déjeuner, Irène est moins entreprenante, quand je le lui fais remarquer elle m’avoue craindre que je la méprise et que je regrette notre emballement d’hier. Je la détrompe, lui fais part de ma perplexité mais aussi qu’ayant peu de tabou, je suis bien disposée à découvrir de nouveaux jeux avec elle. Vers 15h30 ...