1. LE MARIN. La parisienne en vacances. (1)


    Datte: 25/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dame, est une payse, comme nous disons dans la marine lorsque nous trouvons une personne de la même région. J’ai vu que vous étiez étonné de ce que je disais à Agnès concernant le petit mousse. Évitez de vous formaliser, c’est normal dans la marine, lorsque nous partons en mer pour plusieurs semaines ou des mois, nous devons vivre avec nos envies. Depuis des lustres sur chaque bateau, il y a un tonneau dans lequel on y enferme le mousse le plus mignon et nous plaçons notre sexe dans le trou de la bonde. Le mousse a le choix de pomper la verge ou de se placer son anus sur le trou pour que les anciens puissent assouvir leurs plaisirs. Quand le mousse ressort, il récupère l’argent que chacun à placé dans une soucoupe et ainsi arrondi ses fins de mois. • C’est de la prostitution. • Non, des traditions ancestrales. Pendant un an, sur le précédent bateau où j’avais embarqué ici à Lorient, j’ai été le mousse et cela m’a rapporté plus de 10 000 francs, ce qui me permet de vous offrir votre café. Offusquée elle repousse la tasse de café alors que derrière elle, Agnès qui nettoie des tables est carrément hilare. • Reprenez votre café, je supporte mal de faire du mal aux gens même pour des traditions. • Vous savez, si vous pompez vos partenaires, rapidement on prend goût au sperme même si c’est un peu fade. Quant à la sodomie, si vous l’avez déjà accepté, les deux trois premiers coups m’ont fait mal, mais par la suite ma rondelle est devenue plus élastique et même les plus gros sexes ...
    ... sont entrés comme dans du beurre. D’ailleurs si avec le temps, c’est un autre qui va dans le tonneau, chaque fois qu’une belle bite se présente, je ne peux résister. Tenez si maintenant, un beau mâle entre dans le café, je suis capable de l’emmener vers les toilettes et lui présenter mon cul pour qu’il y place son mandrin. J’ai à peine fini ma phrase que la porte du café s’ouvre et qu’Alain mon copain qui est électricien sur notre bateau entre. • Tenez, vous allez voir, la queue de ce marin qui vient d’entrer est celle que je préfère. Chose promise chose faite, attendez-moi, je reviens. Je me lève et j’entraîne Alain vers le couloir qui mène aux chambres sans comprendre pourquoi tant d’empressement à le tirer par la manche. En deux mots, je le mets au parfum de la blague que je fais à cette touriste trop curieuse de notre conversation avec Agnès. Nous attendons dix minutes et Alain monte à la chambre qu’il loue à la patronne au mois. Après le temps nécessaire, je ressors faisant mine de rattacher les boutons du pont qui ferme les pantalons des marins et qui nous facilite la sortie de notre bite lorsque nous sommes en mer par gros temps et ainsi d’uriner sans risquer de se faire dessus. Plus pragmatiquement, ce pont était fait pour éviter que les marins aient des problèmes avec les cordages. Agnès est à côté de la femme qui a mis de l’argent sur la table et semble vouloir fuir cet endroit de dépravation. • Christian explique à madame que tu l’as fait marcher. Je l’ai retenue, ...