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La bande des 4
Datte: 25/08/2020, Catégories: hh, hhh, jeunes, copains, grossexe, anniversai, école, volupté, Oral hdanus, hsodo, échange,
... éventuel, il me répondit qu’il n’en voulait pas, et que je devais juste amener une bouteille d’alcool. Je songeai avec un peu d’ennui que cela serait une grosse beuverie et que je pouvais d’ors et déjà, rayer mon dimanche du calendrier. Je le passerais sans doute effondré dans mon lit, en train de cuver et tenter d’oublier la cohorte de marteaux piqueurs qui allaient squatter ma conscience et mon crâne. Je n’étais pas un habitué de ce genre de soirée même si chez mes parents, sans toute fois exagérer, on aimait bien faire la fête. La soirée se passa gentiment et très gaiement. Nous étions une vingtaine d’étudiants des deux sexes. L’alcool coulait à flot, la musique était forte mais elle n’arrivait pas à couvrir les rires un peu gras et absurdes des fumeurs de haschich. N’étant pas fumeur moi-même, je jetai mon dévolu sur des madeleines qui semblaient persillées aux petites herbes afghanes ou turques. Il y avait le choix ! Je me détendis et bientôt je riais aussi fort que les autres pour des blagues carambar et des jeux de mot digne d’un animateur de télé homo. La fête battait son plein, je fus invité à danser par des filles et je m’amusais aux jeux idiots inventés dans l’instant. C’était bon de lâcher du lest et d’oublier mes études et mes tourments sexuels. Vers 4 heures du matin, il ne restait plus que nous quatre. Nous étions avachis sur le canapé, fourbus, alcoolisés et drogués, à des degrés divers. La salle à manger était jonchée de cadavres de bouteilles, de papiers ...
... et d’assiettes à moitié remplies de restes plus ou moins identifiables. Une odeur de sueur, de fumée froide, d’alcool rance, et de nourriture de moins en moins fraîche assaillait nos narines. Julien avait mis la radio sur la chaîne et nos esprits vagabondaient au gré de la musique nocturne, douce et apaisante. Donna Summer commença à susurrer « I feel Love ». Julien prit Marc par la main et ils dansèrent enlacés l’un contre l’autre. Je les regardai, amusé. Julien avait la tête posée sur l’épaule de Marc pendant que celui-ci lui caressait les cheveux. Ils restèrent un moment dans les bras l’un de l’autre. Marc caressait le dos de Julien que je vis ondoyer. Leurs pubis se frottaient l’un contre l’autre et leurs mains caressaient leurs reins et leurs fesses. Je les regardai de plus en plus intéressé et aussi intrigué. Leurs mains enlevèrent leur tee-shirt et les firent voler à travers la pièce. Ils reprirent la pose, peau contre peau et leurs caresses se firent de plus en intenses. Je sentis une légère raideur encombrer mon pantalon. Julien se retourna. Marc l’enlaça par derrière et l’embrassa dans le cou puis sur l’oreille. Julien tourna la tête et l’embrassa d’un baiser profond et langoureux. Les mains de Marc passèrent sous la ceinture et écartèrent les pans du jean pour faire sauter le bouton à la recherche du pubis. Je compris alors pourquoi je me sentais bien avec eux : eux non plus ne s’étaient pas étalés sur leur vie sentimentale et ils n’étaient pas très curieux de la ...