1. Anne-Sophie (1)


    Datte: 27/08/2020, Catégories: Hétéro

    ... passons plus de 5h au bout du fil. Anne-Sophie me raconte son enfance, son côté garçon manqué, mais surtout, les coups de sa mère, alcoolique. Elle avait enduré cela jusqu’à l’âge de 14 ans avant de fuguer. Les autorités ne l’avaient retrouvées que cinq jours plus tard, à plus de 300km de chez elle. Je regrette qu’elle n’habite pas plus près, j’ai envie de lui faire voir autre chose de la vie et de l’amour. Elle me dit que ça va, qu’elle va bien ainsi, qu’elle l’aime. Ça me rend fou. En mars, je parviens à décider Anne-Sophie de venir chez moi, profitant de l’absence de son mec, parti en week-end avec des amis. Elle arrive par le train du matin, en pantalon de tailleur noir avec un chemisier violet et des escarpins noirs également. Nous échangeons un baiser timide à son arrivée. Il faut dire que ce n’est que la seconde fois que nous nous voyons et malgré nos téléphones, cela nous fait un peu bizarre de nous voir "en vrai", de nous embrasser. Je l’emmène en ville nous flânons main dans la main puis nous montons dans la vieille ville. Là-haut, elle s’assied sur un plot de béton pour se reposer de la montée. J’en profite pour m’approcher d’elle et l’embrasse passionnément. Sa bouche est ourlée et ses lèvres douces. Debout, je la caresse de partout, elle est divine. Elle n’hésite pas longtemps à me caresser l’entrejambe, l’air intéressée. Nous reprenons la voiture aller manger au restaurant. Mes parents ne doivent partir qu’autour de 15h. Après le déjeuner, nous nous baladons ...
    ... le long de la rivière. Nous nous asseyons sur un banc au soleil et là, j’ouvre son chemisier pour la peloter. Elle gémit et me dit que je l’excite. Bien chauds tous les deux, nous rentrons chez moi. Il est environ 16h et nous allons rester enfermés dans la chambre jusqu’au dimanche après-midi. A peine si nous allons manger… Dès notre arrivée, je la déshabille avec envie sur le lit. Elle porte un très joli ensemble de lingerie noir. Elle a de très jolies jambes, fines et bien dessinées. Pour une fille si menue, elle a une très belle poitrine : ses seins sont gros et lourds, c’est un véritable plaisir de les caresser. Et pour couronner le tout, elle a un cul à tomber, rond et bien ferme. Je lui retire son string et lui lèche ardemment le minou. Elle me dit qu’elle adore ça, elle gémit beaucoup et écarte ses jambes au maximum. — Viens, viens en moi, je veux te sentir, prends-moi ! Je suis un peu surpris de l’entendre parler ainsi, car, je l’ai dit, Anne-Sophie est très timide et réservée, elle parle peu et là, pendant que nous faisons l’amour, elle se lâche et est assez directe. Avec ce qu’elle m’avait dit au téléphone, je m’attendais à ce qu’elle soit passive, voir soumise, mais pas à ça. Et je n’avais encore rien entendu... Ne me faisant cependant pas prier, je m’introduis en elle et la pénètre tout en douceur, je vais et viens lentement : — Vas-y, prends-moi plus fort, plus vite, je veux sentir ta bite tout au fond ! Intrigué et malgré tout excité par ses mots, je la pilonne ...