1. Anne-Sophie (1)


    Datte: 27/08/2020, Catégories: Hétéro

    ... alors comme un dingue et jouis rapidement en elle. Elle semble se contenter de cela alors qu’il est clair qu’elle n’a pas eu d’orgasme. C’est une attitude qu’elle aura tout le week-end, comme une double personnalité. Quand nous serons couchés à discuter, elle restera soit blottie contre moi, soit elle voudra que je la serre dans mes bras. A l’inverse, pendant que nous ferons l’amour, elle aura systématiquement ce comportement d’"actrice de porno" (qui devait visiblement être l’idéal féminin de son mec), surprenant et sympa au début, mais fatigant à la longue. Une autre preuve de sa "soumission" étant qu’elle préfèrera toujours être dessous durant l’acte, se montrant mal à l’aise, empruntée et même gênée, à califourchon sur moi. Nous ferons l’amour une dizaine de fois durant la soirée, la nuit et le lendemain. Anne-Sophie suce fort bien. Après trois ébats où elle n’avait pas pris son pied, je la lèche avec application et douceur, bien décidé à la faire jouir. Elle aime, elle adore même, ça se voit, ça se sent, mais elle me demande de venir en elle, ce que je refuse. Je veux l’emmener à l’orgasme avec ma langue. Elle résiste à un tel point qu’elle me repousse, referme ses jambes. J’insiste pour qu’elle me laisse poursuivre, je ne veux que son plaisir. Elle cède finalement, les larmes aux yeux. Je n’insiste pas. Je trouve la situation surréaliste et comme à son habitude lorsqu’elle est contrariée, Anne-Sophie se referme sur elle, impossible de la faire parler. Aussi, je ne ...
    ... vais pas cracher dans la soupe : après avoir vainement tenté à plusieurs reprises d’avoir une relation sexuelle normale, partagée, dans une communion des corps et des sens, j’ai laissé tomber et n’ai fait que la baiser. Parfois, je me croyais vraiment dans un film de cul où seule la "performance" compte. Quelques exemples : gzcgiimw — Vers 21h, je reviens de la salle de bains et découvre Anne-Sophie nue, assise sur mon bureau, en train de se caresser, les jambes grandes ouvertes. En me regardant par-dessous, droit dans les yeux, elle me dit : "Baise-moi !". J’ai descendu mon caleçon et l’ai enfilée. — 23h : je la pilonne déjà comme un malade, elle me lance : "Vas-y ! Plus fort ! Fais-moi mal ! Défonces-moi !" — Dimanche, 11h : Anne-Sophie se met à quatre pattes sur le lit, se cambre incroyablement, me regarde par-dessus son épaule en m’offrant son cul comme jamais : "Prends-moi comme une chienne !" Finalement, j’ai joui : dans et sur sa chatte, sur ses fesses, sur son ventre, mais par-dessus tout, elle a adoré que je sperme sur ses seins. Elle disait aimer la chaleur du sperme à cet endroit et appréciait de l’étaler sur toute sa poitrine. Par contre, son petit trou, on n’y touche pas. A peine ai-je commencé à le frôler d’un doigt qu’elle m’a dit non. Dommage... Le dimanche, vers 15h30, je l’emmène à la gare. Nous nous quittons à regret et assez émus. Elle me dit qu’elle espère me revoir bientôt. Je lui dis que ça risque d’être compliqué tant qu’elle restera avec son mec. 
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