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Datte: 27/08/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
Rencontré en stage, ce petit bout de femme m’avait tout de suite enflammé l’esprit. Peut-être dix ou quinze ans de plus que moi, d’un charme élégant, elle avait le don de provoquer des sensations troubles au creux de mon corps dès qu’elle m’approchait ou m’adressait la parole. Toute menue, sa silhouette était un appel à la luxure. En ce début de printemps, chaque fois que nous nous rencontrions, elle portait de vaporeuses jupes à fleurs d’où s’échappaient ses jambes satinées. Sa minuscule poitrine se devinait à peine sous les chemisiers. Seuls quelques pulls moulants (sûrement portés à dessein certaines fois) arrivaient parfois à en sculpter la forme timide. Malgré son âge – pas si avancé, avec le recul, la petite quarantaine – elle avait un petit cul formidable, comme fraîchement sorti du moule. Une splendeur naturelle qu’elle allait par la suite m’offrir à plusieurs reprises. Dès notre première rencontre, elle avait cherché le contact. Ses yeux avaient tout de suite brillé et les miens s’étaient remplis de cette petite lumière de désir. Quelquefois, avec certaines personnes, c’est quelque chose qui se manifeste à la seconde où la voix prend une intonation particulière, où le corps prend des attitudes singulières. Cela ne se décrypte pas de manière intellectuelle, mais c’est un instinct enfoui au plus profond de nous-mêmes, sûrement depuis la nuit des temps, qui remonte à la surface. Malheureusement, tout cela se déroula au milieu d’une assistance qui ne permettait ...
... nullement l’écart que nos pensées du moment nous auraient fait commettre. De toute façon, nous n’allions pas attendre longtemps avant de connaître les ébats charnels que je vais vous raconter. «…Sous un prétexte futile, elle m’invita un soir. Je la trouvai seule, son mari absent pour je ne sais quelle raison. Nous avons juste parlé ce soir-là. Ce n’est qu’avant de partir que, n’y tenant plus, elle m’enserra brusquement dans ses bras, m’offrit ses lèvres et sa bouche dans leur plénitude. Je goûtai avec gourmandise cette délicieuse mère de famille lascive, dont le corps s’agrippait au mien avec une ardeur troublante. Nos lèvres se séparèrent, luisantes, puis se joignirent à nouveau, cherchant dans un souffle fébrile à s’imprégner du goût de l’autre. Impossible, encore une fois, ce soir-là, d’aller plus loin et de nous laisser entraîner par nos sens à vif : sa fille dormait non loin de là, quelque part dans la maison. Étroitement serrés l’un contre l’autre, nous n’arrivions pas, néanmoins, à cesser nos jeux de langues et de salive. J’emprisonnai son visage entre mes mains et replongeai sans vergogne vers son palais et ses papilles avides, tandis que son étreinte me gardait désespérément contre elle. Je sentais avec quelle force elle voulait m’avoir à elle, me garder contre son ventre. Sa pression s’exerçait au creux de mes reins. Dans la demi-obscurité de l’entrée, il fallut bien envisager la séparation, une nouvelle frustration. Mais nous savions l’un et l’autre que nous devions ...