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Le piège 4: Et les gagnants du loto sont: ( revu et corrigé)
Datte: 27/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... grattage, et je sens que ça va être chaud. Un silence absolu règne dans la voiture et personne n'ose déclencher l'ouragan.. Au bout de 2 minutes, je me lance et dit à Fabienne : » Alors il paraît que tu as fait une terreur nocturne ?» Fabienne me regarde en rougissant et ne sait que répondre. « Ne soit pas gêné » dis-je en posant la main sur sa cuisse. » C'était magnifique à entendre et vraiment bandant à imaginer. Il t'a vraiment enculé hier soir? » Fabienne réagit à ma main sur sa cuisse mais pas comme je l'avait imaginer, au lieu de se rebiffer, elle laissa tomber sa tête en arrière et poussa un long gémissement. « J'ai eu tellement envie que tu m'encules avec ta belle bite » me dit-elle crûment que j'en ai perdu la tête hier soir. Entendant cela, je descendis ma main le long de sa cuisse jusqu'à la lisière de ses bas puis encore plus bas. Rien ne freina ma progression ni Fabienne ni un quelconque tissu puisqu'elle n'avait rien mis sous sa jupe. Son sexe était gonflé et humide. « Tu es déjà trempée » lui dis-je. Elle gémit à nouveau mais plus fort cette fois ci et elle écarta ses jambes autant que lui permettait sa jupe et me dit : » Caresse mon clitoris s'il te plait, fouille mon sexe avec tes doigts. » Je ne me fit pas prier et le malaxai allègrement, fouillant tous les recoins de ses lèvres humides , introduisant l'ensemble de mes doigts dans son sexe trempé. Elle jouit pratiquement aussitôt en referment ses cuisses sur ma main et en murmurant doucement « Je jouis, je ...
... jouis, je jouis » et effectivement, je sentis son sexe se tendre et se détendre au gré de ses spasmes de jouissance. Trop excité, j'arrêtai la voiture sur le bas-côté pour profiter de son corps mais elle refusa tout nette en me disant que c'était trop risqué, qu'on pouvait facilement nous voir. « j'avais plutôt pensé qu'on pourrait aller chez mes parents, j'ai les clefs et c' est le jour du marché, ils doivent être partis et c'est juste à 10 minutes d'ici . Ce fut 10 minutes très longue car Fabienne refusait que je la touche et de me toucher de peur de céder à la tentation. En arrivant devant la maison, nous descendîmes assez précipitamment de la voiture. Fabienne pris la clef sous le paillasson, la mit dans la serrure, mais elle ne rentrait pas malgré ses efforts. Soudain la porte s'ouvrit laissant apparaître son père. « Tiens t'es là toi, qu'est-ce que tu viens faire à cette heure ?. Fabienne ne sut que lui répondre et je dis à sa place : » On vient utiliser votre ordi, on est en panne chez nous. » «. Tiens, bonjour Bertrand, ça va toi. Ah c'est pas possible, tu ne peux pas t'en passer de ses sacrés ordinateurs, quelqu'un veux boire l'apéro « « Peut être après monsieur, on doit d'abord faire la commande sur l'ordinateur puis aller faire les courses pour les autres, on est d'astreinte. » « Ah ah ha, ils vous ont bien eu, eux ils bullent tranquille au bord de la piscine pendant que vous vous faites les corvées. « Ce n'est pas toujours une corvée que d'être avec votre fille » ...