Chroniques immortelles - Le voleur de feu. (2)
Datte: 28/08/2020,
Catégories:
Lesbienne
... violemment pendant que Christelle éclate de rire ! — Ben quoi ? — C’est-à-dire que... je n’ai pas de cabinet de toilette, reprend Farida. Pour ça, je vais à la rivière... — Oh ! Pardon ! Quelle cloche je fais ! Je suis morte de honte ! J’ai réagi comme une Occidentale ordinaire sans même supposer que la réalité du lieu serait très différente de ce que l’on connaît en Europe. Mais Farida me rassure gentiment. — Non, ce n’est rien. Vous savez, je suis née en France de parents marocains et quelquefois, le confort de là-bas me manque un peu. Si vous voulez, je vais vous accompagner à la rivière. Pour moi aussi, c’est l’heure de la toilette, et... à cette heure-ci, personne ne viendra ce soir. Vous allez voir, l’endroit est charmant. Elle a mis des légumes à mijoter dans une marmite posée sur le feu dans la maison, puis elle nous entraîne à travers les arbres. Effectivement, l’endroit est ravissant. A une cinquantaine de mètres de la maison, on découvre une petite cascade tombant dans une piscine naturelle remplie d’eau cristalline. — Le soir, c’est mon moment de pur bonheur, dit Farida en retirant sa djellaba. J’adore la vie que je mène, je ne la changerai pour rien au monde, mais c’est beaucoup de travail. Alors ce moment, j’en profite à fond. — Mais... cette eau est tiède ??? — Mais oui ? Il y a un ancien volcan entre Azrou et ici. Vous avez dû le traverser en venant ? — Mince. Si je m’attendais... Chris et moi nous déshabillons à notre tour. Je regarde Farida. C’est ...
... vraiment une très belle femme. J’imagine que comme toute immortelle, elle soigne son aspect physique. Elle a des seins magnifiques, généreux je dirai, mais fermes. Elle a libéré ses cheveux du foulard qui les protégeait dévoilant une longue crinière. Elle a les hanches larges, une pilosité discrète de l’entrejambe, elle a un corps « fait pour faire des bébés » pourrait-on dire. Nous pénétrons dans l’eau claire et tiède. Nous nous y coulons avec délice. C’est un moment de détente. On finit par raconter des histoires, nos histoires, on plaisante sur notre physique, mettant en avant tel ou tel détail qui semble important pour séduire les mecs, on rigole. Et puis on se taquine, on s’asperge, on se met à chahuter en riant. Et je ne peux m’empêcher de ressentir une soudaine envie de baiser ! Tellement soudaine d’ailleurs que j’en reste dubitative. Mon petit bouton durcit rapidement, mes seins pointent ouvertement avec une intensité rare. Qu’est-ce qui se passe ? Farida semble aussi troublée que moi car ses tétons pointent pareillement. Et puis mes yeux tombent sur Christelle qui regarde Farida avec une lueur chaude que je lui ai déjà vue. Et je comprends ! — Chris ! Putain, arrête ça ! — Arrête quoi ? Répond-elle interloquée. — Tes phéromones ! Tu en produis des tonnes ! — Des ?... Mais... mais je ne sais pas, je ne comprends pas ? Je ne sais pas comment... — Oh putain... C’est clair : Christelle trouve Farida très à son goût. Ce n’est pas une héroïne, mais son évolution la rapproche du ...