Chroniques immortelles - Le voleur de feu. (2)
Datte: 28/08/2020,
Catégories:
Lesbienne
... troisième cercle, je peux induire des transformations chez les autres. Et Christelle éberluée regarde le membre nouveau-né qui orne à présent son bas-ventre. — Voilà, dis-je, vingt centimètres pour un début, ça devrait aller ? — Waouh, drôle d’effet ! Comment font les mecs pour vivre avec un truc pareil entre les jambes ? On ne doit pas savoir où le mettre ! — Moi, je suis sûre que tu sais où le mettre ! Reprend Fadila en la basculant sur le dos. Christelle se laisse faire. Fadila l’enjambe, et fait pénétrer ce membre tout neuf dans son vagin. Je vois Christelle se crisper, les yeux écarquillés d’étonnement, pendant que Fadila se laisse glisser avec un soupir d’aise. — Oh Bon Dieu ! Je comprends pourquoi les mecs en font tout un plat ! Émerveillée, je regarde mes deux amies frémir de concert. Drôle de situation : Christelle avec sa longue carrière dans la prostitution de luxe est en train de subir une sorte de dépucelage ! Mais elles sont belles. Je les admire. Je glisse mes mains entre leurs jambes, caressant une chatte détrempée, puis un membre bien dur et bien lubrifié, ou encore agaçant un petit trou animé de crispations. Farida me regarde d’un air suppliant. Bien sûr que je veux... Alors je presse sur son petit trou qui s’ouvre presque sans effort, la faisant crier de plaisir. Je sens la queue de Christelle contre la mienne à travers la mince paroi. Mes deux amies ont la respiration courte, le pouls qui s’accélère, les mains qui se crispent. Lorsque je les sens au bord ...
... de l’explosion, je sors brusquement des fondements de Fadila et plonge sans douceur dans la chatte de Christelle. Elle frémit violemment, se cambre, jouit, se vide dans Fadila, arrachant avec ce violent assaut un second orgasme à cette dernière. Et je me lâche, je la remplis, je la comble. Nous nous laissons aller, roulons l’une contre l’autre et reprenons lentement nos esprits. — Bon Dieu, comme c’est violent ! C’est plus bref que pour une femme, mais qu’est-ce que c’est violent ! Je comprends comment j’ai épuisé autant de mecs ! Conclut Christelle en riant. Plus tard, soulagées, heureuses, récurées, rhabillées, nous nous retrouvons devant la maison autour d’un feu de camp. Le soir est tombé. Le repas a été délicieux : Fadila a sacrifié une poule et l’a accompagnée de légumes variés le tout subtilement assaisonné. Puis soudain elle entame un chant aux sonorités étranges en s’accompagnant d’un guembri, une sorte de petite guitare. C’est un chant traditionnel, je ne comprends pas les paroles. C’est du tamazight, une des langues berbères. Elle s’interrompt un instant. — Vous pourriez chanter avec moi ? Fait-elle. — Comment ça ? S’interroge Christelle. — Christine sait. Il suffit de lire dans mon esprit. — En effet, dis-je. Je peux, tu veux ? — Oui, vas-y. Je plonge dans l’esprit de Fadila. Le chant s’inscrit dans ma mémoire en même temps que le tamazight. Puis, je pénètre l’esprit de Christelle. Cette dernière frémit. — Bon sang ! Quelle impression ! J’ai des mots dans ma tête ...