Sophie bourgeoise racoleuse zoophile (1)
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
Zoophilie,
... rencontres. En journée je n’y croise que des femmes, seules, en groupe ou avec leurs enfants très jeunes et non scolarisés. Ma cible de prédilection c’est les femmes seules, peu m’importe l’âge ou le physique. Je repère ma cible puis je m’écarte du chemin sur lequel je suis pour m’isoler dans un buisson, à l’abri des regards. Et je branle mon chien, je fais en sorte que sa queue sorte entièrement avec la boule. Sa bite devient violette et une fois qu’elle a pris toutes ses proportions je reprends ma route comme si de rien n’était. Sauf que lui, le pauvre avec une pareille trique, il ne peut pas marcher correctement il a le dos rond ce qui rend son sexe encore plus visible. Je passe à proximité de ma prochaine victime qui ne peut pas faire autrement que poser son regard sur cette formidable queue. Les réactions que j’observe sont de trois natures différentes : — La surprise, la femme tourne la tête et voit cette grosse queue pendre sous le ventre de mon chien. Il y a un petit mouvement de recul, parfois un lever de sourcil, puis la victime essaie de reprendre contenance et son activité. — L’indignation, la victime voit la bite tendue, puis me regard avec un air sévère bouche pincée. Comme si j’étais responsable de la libido de mon chien (bon c’est le cas OK). Je suis toisé comme une enfant qui aurait désobéi. — En fin la dernière l’amusement, un sourire radieux parfois même un éclat de rire... puis un regard qui cherche un sourire chez moi aussi. Dans tous les cas j’entame ...
... toujours la conversation en disant qu’il vient d’essayer de monter une chienne dans un bosquet et que j’ai dû le rattacher pour éviter qu’il ne la prenne en chasse. Le premier sujet de conversation est toujours la bite de mon chien... et rapidement on sait à qui on a affaire. C’est le moment que je préfère. Je vois le regard se poser de nouveau sur le sexe, ou l’éviter soigneusement, ou parfois pour les plus sûres d’elles, elle cherche dans mon regard une préméditation et c’est là que j’excelle le plus dans le rôle de nunuche. Si je sens que le courant passe bien j’essaie de partager un moment plus privilégié. Ce qui m’importe c’est qu’elles photographient cette grosse queue, pour qu’elles y repensent, qu’elles en rêvent ou même qu’elles se caressent en imaginant ce qu’elles veulent. J’espère qu’elles aient mauvaises consciences de sentir la graine de perversion que j’ai semée en elles grandir et pousser. C’est rare que cela aille plus loin mais parfois je tombe sur proie facile ! Un jour, je repère une jeune femme de 30 – 35 ans, bel et bien faite en jupe courte et talons, magnifique ! Un visage angélique le rêve pour la perverse que je suis ! Je passe devant elle et aperçois les attaches de ses bas, une coquette. Je fais 20 m je plonge dans le fourré, je branle mon chien et demi-tour aussitôt : pas question de la rater. Je passe devant cette jolie poupée qui cette fois relève la tête de son téléphone ce qui n’avait pas été le cas la première fois. Je la salue, l’air très ...