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Au sommet
Datte: 27/06/2017, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
Nous disposions d'un duplex au haut d'un petit immeuble. Ponctué d'unebelle terrasse, je m'étais exclamé le premier jour : ceci sera mon havrede paix. On y effectuera des parties apéro et des grillades. Assurémentj'y bronzerais l'été. A cet égard il y avait un recoin à l'écart desregards où je pouvais à tout loisir m'installer nue sur un transat.Cette touche coquine ne laissa pas de me rendre sympathique le nouvelappartement. Il avait coûté bonbon mais ce n 'était pas le moindre dontse put montrer capable mon Jules. Nous nous étions rencontrés sur leNet. Il était tout à mes pieds.Il avait du ramer pour m’att****r. Genre amazone j'étais rétive au typescollants et par trop possessifs. L'âge aidant j'avais troqué lessentiments contre davantage d'efficacité. Le bonheur était devenusynonyme de jouissance et du mépris des importuns. J'avais convenu avecmon ami que l'un et l'autre avaient droit à des apartés sexuelles. Nousdevions faire en sorte de ne blesser l'autre. De ne point ledéconsidérer auprès des tiers. De lui offrir enfin notre part enjouée etpositive. Cela n'empêchait pas que nous nous offrions à l'occasion desparties à quatre avec nos amants respectifs.Mon statut de commerciale à cet égard me laissait une grande liberté etl'opportunité de croiser nombre d'hommes. Mon air de brune fatalechavirait les cœurs et autre chose et je n'ai jamais pu résister à latentation de remercier celui qui me témoignait son envie. un homme quibande pour vous doit être récompensé d'une façon ...
... ou d'une autre.L'ivresse m’envahissait la tête. J'ai maintes fois fait n'importe quoi.Avec le recul je suis soufflée de tant d'audace et d'inconscience. Jen'avais cure qu'on me prit pour une folle ou une salope. Une telleréputation me flattait.Heureusement je n'écumais pas toujours les routes. Mon auto avait droità se reposer sur le parking. Je pouvais à domicile gérer mes affaires.On ne sera jamais assez reconnaissant au numérique d'avoir changé nosvies. A mes heures perdues je draguais sur le Net. Selon je rencontraisà l'hôtel, allais chez le type ou le faisait venir en de rares fois dansmon duplex. J'étais demeurée insatiable quant au sexe. Le premier étévenu j'ajoutais cependant une nouvelle corde à mon arc. Bientôt usais-jeet abusais-je du bronzage intégral. Cette terrasse était espace divin.Le soleil parvenait dans le coin où je demeurais à l'abri des regardsvicieux. De toute façon je n'avais en visa à vis que quelques pavillonset deux grands immeubles à près de cent mètres. Seuls des types pourvusde forte jumelles pouvaient violer mon intimité. Cependant cetteperspective d'être vue et matée bientôt m'excita. Aussi vins-je à joueravec l'hypothétique voyeur. Ainsi sortais-je des fois nue de mon petitcoin pour aller chercher une chose. Je demeurais ainsi quelques minutesofferte. Ou bien je ne laissais paraître hors du même recoin que mescuisses et mes jambes.J'imaginais les types rêvant et se masturbant. J'aimais pouvoir lesrendre fous. Un soir sachant mon compagnon à l ...