1. Des études mal engagées 2


    Datte: 31/08/2020, Catégories: Lesbienne Hardcore, BDSM / Fétichisme

    Qu’avait-il bien pu arriver à Louise pour que, ce lundi matin, juste deux semaines après son entrée à la fac, elle se retrouve à genoux, nue dans les toilettes handicapées, figée et silencieuse ? Simplement par une succession de mauvais choix, aux mauvais moments, dans de mauvaises circonstances. Le tout en une soirée.La première semaine de fac donne souvent lieu à des fêtes organisées pour accueillir les nouveaux arrivants. Louise, plutôt rangée, avait pris des résolutions pour ce passage à l’échelon supérieur, maintenant qu’elle était majeure et émancipée. Se lâcher, enfin. Pour faire plus de connaissances, profiter plus de la vie. Tout cela était de courte durée.Quand on n’a pas l’habitude de boire, il faut s’attendre au pire quand on prend une cuite. Louise avait totalement lâché prise. Et à cet instant, dans les toilettes, les mains dans le dos, avec cette sensation désagréable de froid sur les genoux, elle le regrettait amèrement.Prise dans la folie de la soirée, poussée par les uns et les autres, ne pensant qu’à s’amuser, elle avait abusé de l’alcool, mais pas que. De l’herbe par-dessus, le mélange des deux fut explosif pour elle. C’est au moment où elle se retrouva en train de danser, tout en se frottant contre un inconnu sur la terrasse, lui tout aussi alcoolisé, que tout a commencé.Elle ne se souvenait pas des détails, seulement qu’elle dansait de manière provocante sur l’étudiant, allongé sur un transat. Ne se rappelant pas à quel point il en avait alors profité ...
    ... pour parcourir son corps. Par contre elle n’avait pas du tout oublié s’être fait violemment pousser au sol, se faisant allègrement insulter par une fille. Prise dans son délire, Louise s’était enfuie en courant. Le reste de la soirée était flou dans son esprit.Elle s’était réveillée sur l’herbe, derrière un bâtiment de la fac, à côté de son vomi de la veille. Elle tituba tant bien que mal jusqu’à sa chambre, un mal de crâne épouvantable l’accompagnait. Arrivée dans sa piaule, elle se rendormit aussitôt sur le lit. Son sommeil ne dura pas longtemps.Des bruits de coups violents sur sa porte résonnèrent dans la chambre. Sans se demander de qui il s’agissait, ou même pourquoi on venait à sa chambre elle se leva pour tourner le verrou. Au moment même où elle avait tourné le loquet, elle fut projetée à terre. La brutalité avec laquelle la porte avait été ouverte l’avait fait voler.Trois filles entrèrent dans sa chambre, s’empressant de refermer la porte et le loquet derrière elles. Deux d’entre elles restaient en retrait, tandis qu’une fille, qui disait vaguement quelque chose à Louise, se tenait juste devant elle. Elle avait l’air très en colère. Encore sous le coup de sa soirée, Louise subissait la situation sans pour le moment réagir.D’un seul coup, la fille se baissa à son niveau, lui montrant une photo d’un homme. Louise le reconnut : c’était le mec sur qui elle avait dansé la veille. Bien avant qu’elle entame une réaction, la fille lui cracha au visage.Tu vois ça, grosse pute, ...
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