Des études mal engagées 2
Datte: 31/08/2020,
Catégories:
Lesbienne
Hardcore,
BDSM / Fétichisme
... c’est mon mec et toi, grosse traînée, tu es venue te frotter à lui comme une chienne en chaleur. Tu me dégoûtes, t’es vraiment qu’une merde.Louise allait parler, mais aucun son n’était encore sorti de sa bouche qu’une énorme claque atterrit sur sa joue.— Ferme tout de suite ta gueule, écoute très attentivement et surtout regarde !La fille faisait défiler des photos, et dans les yeux de Louise on pouvait lire la terreur qui grandissait au fur et à mesure.Trois séries de photos témoignaient de moments de la soirée dont Louise n’avait aucun souvenir mais qui s’étaient bels et bien déroulés, les clichés en attestant. La première série montrait Louise en train de sniffer un rail de coke au sous-sol de la fête, encouragée par des jeunes visiblement complètement défoncés. Sur la deuxième série, on voyait clairement Louise, une bombe de peinture à la main, taguant « bande de putes » sur le bâtiment des professeurs. La dernière série laissait apparaître Louise accroupie, pantalon et culotte baissée, urinant sur la pelouse devant le bureau du directeur de l’université. Sans lui laisser le moindre répit, la fille enchaîna :— Si ces photos atterrissaient entre de mauvaises mains, tu serais virée sans hésitation d’ici, tu aurais même certainement des ennuis avec les flics et surtout, tu serais humiliée publiquement et jamais tu ne t’en relèverais. Bien sûr on peut s’arranger. Tu vois, pour une fille de mon standing, c’est important d’avoir des privilèges. Et quoi de mieux pour ça qu’une ...
... esclave personnelle ? Ton choix est simple, soit tu deviens mon esclave sans restriction et ta vie ici m’appartient, soit le destin choisira quel sort te réservera la publication de ces photosDes larmes commencèrent à couler sur les joues de Louise. Elle ne se rendait pourtant pas compte de la position dans laquelle la mettait la fille. Non, elle se demandait comment elle avait pu en arriver là. Cette débauche, cet état pitoyable, comment après tant d’années à rester sérieuse, avait-elle pu ruiner sa fierté ainsi, par de stupides résolutions dictées par la société ambiante ? Parce qu’elle avait été faible. Elle avait cédé à des pratiques populaires, pourtant stupides et irresponsables pour la plupart.Maintenant il fallait en assumer les conséquences. Pas seulement pour son honneur, mais vis-à-vis de ce chantage. Les effets de la soirée n’étant pas encore totalement estompés, son cerveau tournait au ralenti, elle n’arrivait pas à rester concentrée sur la situation, à réfléchir. Une autre gifle l’aida à se remettre sur le droit chemin.— putain t’es encore défoncée, grosse merde ! Je n’ai pas de temps à perdre avec toi dans cet état. De toute façon la situation est simple : demain matin, à 7 h 30, tu seras à genoux, mains dans le dos, nue dans les toilettes handicapés du bâtiment Jaurès. Que ce soit moi ou elles, dit-elle en pointant ses amies dans son dos, tu obéiras au doigt et à l’œil à nos ordres et tout se passera bien. Les photos resteront dans mon téléphone. Et si tu es ...