1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°774)


    Datte: 11/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°773) - Un bordel suisse (2/2) – Je m’exécute en bandant fort encore… Je monte sur une espèce de petite table rembourrée et couverte d’un skaï noir. - Ton cul tout au bord de cette table et relève les cuisses, la chienne! me dicte-t-elle encore. A peine suis-je installé dans la position requise, que mes hanches, mes cuisses relevées et mes mollets sont pris dans un carcan formé par des planches de bois posées les unes sur les autres avec des trous plus ou moins larges, permettant d’emprisonner mes jambes et ma taille. Cette construction ingénieuse m’empêche tout mouvement de bassin et de mes membres inférieurs mais aussi de voir ce qui se passe derrière cette haute cloison de bois laissant sans doute, mes fesses bien exposées et maintenues largement écartées. Mais ma captivité ne s’arrête pas là, la vieille dominante m’enferme le cou et les bras dans un autre carcan me contraignant et me clouant à l’immobilisme parfait. Un bandeau m’est ensuite posé sur les yeux. - Je te prédis l’extase la chienne, que tu le veuilles ou non, tu vas en prendre plein ton cul, espèce de grosse salope ! Que de bites affamées ce soir vont te prendre dans ton trou de catin, tu en as de la chance ! me lance celle qui m’a séquestrée. Au même moment, elle m’attrape les deux mamelons, les pinces et les tire sauvagement à m’en faire hurler et bander instantanément. Deux pinces japonaises mordantes viennent remplacer ...
    ... ces doigts, la chainettes les reliant entre elles se tend et semble être accrochée à l’un des panneaux de bois enserrant mon cou. Et comme si la douleur n’était pas suffisante, une corde me noue les couilles et ma nouille tendue à l’extrême. Mon paquet est relevé, soigneusement étiré, solidement attaché, laissant ma marge anale bien dégagée. La posture devient terriblement pénible tout autant que follement jouissive. Je suis là parfaitement offert, immobile, tel un simple objet attendant les ruades et enculades. Cette vieille Dominante ne m’avait pas menti, des bites, j’en ai pris, toute la soirée et une grande partie de la nuit… des petites, des lourdes, des fines, des épaisses, des hors nomes, des plus frêles ! Mon cul comme ma bouche n’ont été que deux déversoirs à foutre, certains mâles surexcités m’ont même pissé dessus et inondé mes trous de lope soumise. Des Dominantes endiablées m’ont offert leurs sexes à lécher, leur liqueur intime à avaler, d’autres mon travailler le cul avec des godes-ceintures plus ou moins longs, plus ou moins larges. Si bien que je suis totalement anéanti, éreinté, lorsqu’on me détache et libère. Impossible de me relever, j’ai des crampes de partout, du foutre qui regorge de mes trous, de la cyprine sur mes lèvres boursoufflées. Ce fut une véritable orgie sexuelle concernant les pénétrations dans mes trous où je n’ai été qu’un objet sexuel de plaisir total, un vulgaire vide-couilles entre mes entrailles ou on a usé et abusé de moi sans modération, ...
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