1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°774)


    Datte: 11/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... et j’avoue que malgré la fatigue, la pénibilité de la position attachée et immobile, j’en ai tiré un incompréhensible et sublime plaisir masochiste, j’en ai incroyablement bandé durant la totalité des multiples et profondes ruades et sodomies. Je souhaitais être pris par le cul, j’ai eu ma dose, et quelle dose !!! Une fois fini, une fois que plus personne n’eut envie de m’enculer, on me détacha et je tombais à terre épuisé mais si heureux, si épanoui de me sentir une putain, un simple trou à bites… Heureusement on me laisse là, couché en chien de fusil. Les yeux mi-clos, je me repasse le film de cette soirée et nuitée, mon addiction sexuelle à la soumission totale et masochiste n’est plus à démontrer. Je suis dans la compulsion, la dépendance, n’arrivant plus à résister à mes envies toujours plus hard. J’aime me faire démonter, besogner, défoncer, emboiter, bafouer, humilier, tel un besoin quasi maladif. Et cette addiction, je la dois à Monsieur le Marquis d’Evans, qui a su me dresser, me dominer me construire. Il a su faire de moi une bonne pute, Sa catin, Sa petite chienne toujours affamée. Je bande en pensant au Maître, je suis au bord de l’épuisement mais pour autant ma queue se redresse encore et sans effort… Epuisé je le suis, je ne bouge pas, ne réagis même pas lorsque je sens une main m’écarter les fesses, lorsqu’un doigt glisse sur ma raie et s’immisce dans mon trou béant et gluant. Je ferme les yeux, ouvre la bouche instinctivement en gémissant bruyamment. Un ...
    ... souffle chaud se répand sur ma raie, une langue caresse mon orifice. J’entends : - Bouffe et nettoie correctement, bâtard ! Je reconnais la voix de Karl. Mes lobes fessiers sont plus largement écartés, je m’offre en levrette en jetant un regard rapide sur celui obligé. Le jeune esclave blond de Karl est là, derrière moi, entre mes cuisses, sa bouche rivée sur mon anus meurtri, sa langue cueillant le surplus de foutre dégoulinant de mes entrailles. Son corps est terriblement zébré. Cet anulingus me remet sur pied, je m’offre en fermant de nouveau les yeux tout en gémissant tapageusement. Une main me saisit la bite, je suis raide, mon gland décalotté et bien humide. De longs et doux vas et viens sur ma hampe turgescente me font rapidement décoller. J’avale difficilement ma salive, je soupire et respire longuement. Mes jambes vibres et trembles, mon échine frissonne. Je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps, même si cette masturbation est douce et très lente. Je m’enflamme encore, la langue du jeune esclave me pénètre largement. Oh que c’est bon ! - Pitié Monsieur, je vais…. Mais cette main rivée à ma bite accélère le rythme. Mon corps tout entier palpite et flageole. Je m’affole, m’agite, me trémousse, m’épouvante, ce n’est plus possible… - Pitié, pitié, je vais jouir Monsieur ! Je tressaille et vacille encore tentant de contenir mon éjaculation. - Vas-y crache Ma pute, là, maintenant, je t’y autorise... Cette voix… oui cette voix… et cet orgasme au même instant. Je décharge ...