Stéphanie (2)
Datte: 02/09/2020,
Catégories:
Transexuels
Mon maitre, je m’en rends compte aujourd’hui, à su me laisser venir à lui très progressivement. Je ne pensais pas devenir femelle, et uniquement femelle, mais c’était sans doute inexorable et tant mieux. Je suis si heureuse maintenant, à ses cotés. C’est moi qui ai abordé Jean, mon maitre, sur un forum dédié à la féminisation. Nous avons parlé pendant plusieurs mois, durant lesquelles il n’a jamais caché qu’il était à la recherche d’un soumis à féminiser. Il était toujours si sûr de lui, si rassurant, que je me suis confiée à lui. J’habitais alors à 150km de chez lui, et l’idée de le rencontrer, d’être son jouet sur tous les plans a donc fait son chemin d’autant plus facilement que la rencontre était possible. Un soir de janvier, peu après nouvel an, nous avons décidé de concrétiser notre relation. Il m’avait persuadée qu’il serait bienveillant avec moi, et ne me rencontrerait que si je le voulais. Il a donc commencé à me donner des instructions, et mon vrai prénom, Stéphanie. J’adorais ce prénom et il le savait. Nous avons brièvement abordé ensemble les limites que je voulais fixer dans le cadre de notre relation de maitre à sousmise, mais c’est moi qui la première n’en ai pas voulu. Je lui faisais confiance et je voulais me donner entièrement à lui, sans limite. Sans d’ailleurs savoir vers quoi j’allais exactement. Je ne l’ai jamais regretté... L’une de ses premières exigences a été d’avoir une photographie de tous mes vêtements, d’homme ou de femme, afin de décider de ...
... mes tenues quotidiennes. Il n’a pas exigé que je les porte, sauf les culottes et strings, et de dos seulement. Quel incroyable plaisir de me photographier et d’envoyer à mon maître la vue de mon cul bombé et parfaitement épilé dans un string ou une culotte ! Sans même parler de la présence du rosebud... Il avait numéroté les photographies et m’envoyait chaque soir une liste de numéros, qui augmenta au fur et à mesure de mes achats... et des siens. Il avait fallu que je lui donne mon nom et mon adresse pour la réception des colis. Ce fut l’étape de non retour, mais j’étais beaucoup plus excitée qu’effrayée. J’allais toujours au bureau habillé en homme, et cela devenait de plus en plus pénible. Je prenais confiance, et j’avais aussi de plus en plus envie de m’assumer. Le cabinet dans lequel je travaillais était alors composé de 4 personnes, 3 avocats, tous des hommes, et une secrétaire, une femme qui a évidemment été la première à commencer à se douter que je changeais. Je prenais pourtant soin d’effacer toute trace de maquillage le matin, mais ça devait se voir quand même. Début février, j’étais habillée comme mon maître me l’avait demandé. Je portais un jean, des mocassins et des chaussettes noires, un polo manches longues noir et un pull plus léger. En dessous, mes jambes étaient gainées dans des bas coutures blancs, retenus par les 8 attaches de mon porte jaretelles vintage (une catégorie de vêtements que j’affectionne tout particulièrement). Par dessus, je portais un string ...