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Préhistoire 4 : la fille aux talismans
Datte: 02/09/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... -Tu vas être contente. Je vais t'apprendre à m'interrompre quand je suis avec la rousse ondulée. Je saisis ses cheveux pour les tirer en arrière et embrasser son cou. J'humais sa peau comme un prédateur hume sa proie quand elle me pinça très fort au niveau des côtes. Pris par surprise je la relâchais et elle me plaqua sur les peaux, même si elle ne chassait pas elle n'en était pas moins robuste. -On dirait que tu vas devoir appendre toi même comment me dompter. Tout en me maintenant au sol et en m'enlaçant dans ses bras forts couverts de peaux elle se pencha sur moi. Je te rappelle que je sais comment est ton corps. En soi ce n'était pas compliqué. J'étais complètement nu et en bougeant les peaux étaient tombées, montrant mon corps bâti dans les glaciers et couverts de cicatrices, dont quelques unes de récentes sur mon torse, sur les traces de griffes d'un lion. -Je vais te monter avec une telle force que tu ne pourras pas te servir de tes talents de chamane. -Ce serait bien dommage pour toi, me dit elle en amenant sa main vers mon sexe (qui bien évidemment prenait de l'ampleur). Je connais des choses que la rousse ondulée ne connait pas. -Mais tu ne sais pas faire attention à tes affaires. J'avais réussis à libérer un de mes bras de son étreinte et à lui prendre une griffe d'ours qui ornait ses vêtements. Rapidement je m'en servait pour défaire plusieurs nœuds et avant qu'elle ne saisisse a nouveau mon bras un partie de ses vêtements étaient tombés, dénudant ses bras ...
... et sa poitrine avec des sein superbes, des demi-ronds parfaits que je m’empressais d'embrasser. Surprise elle desserra son étreinte, assez pour que je la saisisse à mon tour. Je mordillais ses tétons que je sentais durcir, léchais ses seins comme un mort de soif en m'attardant particulièrement sur le creux entre eux, appréciant le plaisir d'avoir mon visage dans sa chair si douce. Elle se contorsionna comme une furie mais pas pour se libérer non, elle dégagea ses bras juste assez pour baisser un peu son propre pantalon de peau. -BAISE MOI MAINTENANT J'EN PEUX PLUS D'ATTENDRE ! Immédiatement je desserrais mon étreinte et je saisis ses hanches pour bien la positionner, l'instant d'après je l'empalais sur mon sexe dressé et elle poussa un soupir de plaisir qui en disait long sur son désir inassouvie. Mais pas question de la laisser prendre le dessus dans nos ébats, alors la non ! je l’emprisonnais à nouveau dans mes après lui avoir ôté ce qu'il restait de ses manches et me mit à la culbuter littéralement. Avec une de mes mains je l'empêchais de bouger ses hanches, ce qui faisait que ma verge voyageait partout dans son sexe sans y ressortir. Je la fouillait de fond en comble et je sentis sa cyprine couler pendant qu'elle se tordait de plaisir. Son antre se contracta et elle poussa un grand cris avant de rester inerte contre moi. Elle repartit à nouveau dans le plaisir très rapidement et nous continuâmes de baiser avec la même fougue. Néanmoins ce n'était pas une position très ...