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Préhistoire 4 : la fille aux talismans
Datte: 02/09/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... confortable et je me redressais, elle assise sur moi. Mon sexe quitta brièvement le sien le temps de lui enlever son pantalon et tout de suite après je l’empalais sur ma hampe. Je caressais un moment ses cuisses nues, recouvertes de talismans comme ses bras. Je la pris par les hanches et lui imposa un mouvement avec une telle force, elle ne pesait rien dans mes bras, que ses talismans cliquetèrent en faisant un bruit qui recouvra ses gémissements qui devinrent ensuite des halètements puis des cris d'extase. Elle enlaça mon cou d'auroch comme si elle avait peur de se séparer de moi tellement notre baise était puissante, son antre de plaisir devint un âtre brulant qui ne pouvait être calmé qu'en allant de plus en plus fort. Nos bouches s'embrassaient, voyageaient vers les cous, léchèrent les poitrine. Elle fut tellement en sueur que ses os se collèrent à sa peau, ma langue râpait ses seins durs comme du silex et à ses cris je savais qu'elle atteignait un plaisir qu'elle n'avait pas encore connues. -Oh..oh...oh...han....oui...ah....vas y...plus fort.....encore allez ! -Han..han..ah....comme tu....vou...dras..ah ! Son vagin venait de se resserrer sous le coup d'un orgasme mais je parvins de justesse à ne pas jouir. Je saisis ses cuisses à pleines mains et je réussis à me mettre sur mes genoux, la dominant cette fois et sans qu'elle touche le sol. Elle serra ses jambes contre mes fesses, me coinçant et me forçant à déployer des efforts considérables pour continuer à la ...
... démonter. Elle jouit je ne sais combien de fois, son sexe se contractait sans cesse et provoquait en moi des torrents de lave en fusion que je devais à tout prix évacuer, rapidement mes cris sauvages se joignirent aux siens Ma vue se troubla tandis qu'un feu incroyable grandit en moi et je m'enfonçais en elle comme pour la transpercer. Je libérais d'un seul jet long et surpuissant ma semence brûlante au fond de son sexe. Épuisée elle relâcha ses bras et tomba à la renverse sur les fourres de ma tente. Quand à moi j'étais tellement sonné que mes bras tenaient encore ses cuisses. Je la relâchais lentement et ôtais mon mon sexe de son antre, puis je m'allongeais à coté d'elle. Nous nous sommes regardé sans rien dire pendant se longues minutes, profitants paisiblement du plaisir éprouvé. Ses cheveux blonds tombaient en pagaille sur son visage et ses yeux bleus luisaient avec une intensité digne d'un glacier sous un soleil d'été. Son corps blanc brillant de sueur était beau, bien plus que celui de la rousse ondulée. Bientôt mes mains pétrirent ses seins et ses cuisses si douces, mais sans plus. -Aucun n'est aussi bon que toi. -Ils n'avaient pas mes raisons de te défoncer à se point. dis je avant de l'embrasser, nos langues se caressèrent lentement puis elle retira sa bouche. -Non vraiment. Chacun de tes coups. Ta verge qui allait et venait, ton torse sur ma poitrine. C'était incroyable. -Tu sais, la rousse est géniale mais pas comme toi. Ce que je t'ai fais. Je crois pas que j'aurais eu ...