1. Ma poupée russe en club hot (1)


    Datte: 11/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... s’est assis sur le canapé face à nous et Anastasia s’est assise sur son dard face à nous en écartant bien ses lèvres pour nous montrer les ravages qu’il lui causait. Son antre représentait à présent un trou béant, dilaté comme jamais. La cavalcade reprit de plus belle avec son lot de sonorités obscènes. Sa poitrine sautillait dans tous les sens malgré sa lourdeur. Elle jubilait sur ses coups de boutoirs et Abou est monté sur le canapé, à côté d’elle à hauteur de sa bouche pour se faire sucer. Elle cherchait carrément à l’avaler pour avoir son sexe directement au fond de sa gorge. Je ne l’avais jamais vu ainsi excitée, autant en transe. Anastasia voulut enfin s’occuper d’Abou. Elle avait hâte de sentir enfin la grosse matraque du jeune mâle dans ses entrailles. C’était plus fort qu’elle même si elle n’était pas convaincue que ce monstre rentrerait en elle malgré le passage de Stéphane. Elle redoutait cet instant où elle se retrouva au dessus de cette fabuleuse tige luisante imbibée de sa salive. Elle contrôla très lentement la poussé, élargissant largement son vagin. Elle lui retenait le bas ventre pour ne pas qu’il aille trop loin en elle. Elle se plaignait qu’il était très gros. Arrivée au pubis d’Abou, elle fit sens inverse jusqu’à ce qu’elle s’habitue à cette largeur qui la labourait, mais qui lui faisait découvrir des sensations jamais ressenties auparavant. Pourtant, très rapidement, elle se mit à gesticuler en petit mouvements saccadés. Elle s’excitait d’elle-même sur ...
    ... cet énorme pieu. Abou la laissait faire, profitant de son opulente poitrine : la pinçant, la pressant, la malaxant, tout y passait. Le jeune homme dévorait les seins de la belle blonde avec gourmandise. Puis progressivement, elle imprimait son propre cadence, plus lente, plus profonde, plus sensuels... Elle gémissait profondément, ses plaintes venait du plus profond de son corps. A chaque aller retour sur cette colonne de chair, elle donnait l’impression de jouir. Abou redoublait d’excitation et il saisit les fesses de cette femelle libérée pour faire activer son anus. Elle demandait à Abou de lui frapper son arrière train ce dont il ne se privait pas. Abou la pénétra avec plus d’entrain, plus de bestialité qu’elle acceptait totalement, plus encore qu’elle désirait. Comme attisé par les feux d’un désir ardent et incontrôlable, Il s’appuyait sur elle de toute ses forces ; Abou la besognait à quatre pattes en levrette sur le canapé. Elle l’aida en écartant elle même son postérieur dont le petit anus s’ouvrait naturellement. Sa queue était vraiment énorme et Anastasia jouissait en permanence. Elle n’arrêtait pas de dire « baise moi, baise-moi » en regardant l’engin coulisser en elle à grande vitesse. Quand il glissait, elle lui remettait tout de suite dans son vagin. Ils se dévoraient les lèvres de manière animale plus que de s’embrasser. C’était sauvage, brutal. «Y a pas à dire, vraiment les blacks baisent bien », me gratifia Eva, fière de la perversité de son jeune ami. Elle ...
«12...121314...17»