Ma poupée russe en club hot (1)
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Anastasia finit par se calmer. Après quelques minutes de sailli, elle gémissait très fort non plus de douleur mais d’un plaisir intense, « Oh oui, tu me baises trop bien ! » lui dit elle. La belle posa sa joue droite sur le dossier du canapé, ferma les yeux pendant que Abou continuait ses de petites pénétrations rapides. Elle se retourna vers Abou, « continu, surtout t’arrête pas », ce qu’il fit pour son plus grand plaisir. Le coït dura bien un quart d’heure avant qu’il la fasse basculer sur le dos, sur le lui. Je n’avais jamais vu ses grandes lèvres aussi ouvertes, aussi baveuses. Elle suçait même les doigts de Stéphane. « Tu veux gouter à nos grosses queues petite chienne ? Oh oui plus que tout ! », lui répondit elle. Ils se levèrent tous les trois de concert et Anastasia s’est agenouillée par terre, le visage immédiatement cernée par les deux grosses queues noires et luisantes de plaisir. Ma belle russe était aux anges au milieu des deux matraques qu’elle suçait avec avidité malgré son incapacité à les gober dans leur totalité. Qu’importe, elle passait de l’une à l’autre en face de nous. Abou lui tenait sa chevelure pendant qu’elle s’acharnait sur la bite de Stéphane, « alors tu aimes la bite ? Les grosses bites de noir ? Oh oui, je suis au paradis. Mais maintenant, j’en veux plus ». C’était donc le signal pour aller plus loin. Ma belle russe était enragée, sans limite. Elle leur demanda de la prendre les deux en même temps, ce qui semblait ravir nos compagnons d’un soir. ...
... Stéphane s’est de nouveau assis sur le canapé afin de prendre possession de l’anus d’Anastasia alors qu’elle offrit, jambes écartées, son sexe à Abou. Il s’est précipité dessous en s’y introduisant violemment. La russe a poussé une hurlement puissant qui l’a complètement paralysé. Je voulu intervenir car je n’accepterais pas qu’on lui face du mal mais Eva m’a barré la route par son bras. « Attends un peu. Tu vas voir » me fit elle remarquer. Les gars attendirent un instant pour que ses orifices s’adaptent à ces corps étrangers puis, ils se mirent en musique pour la posséder alternativement. Elle faisait des « hooo, hooo » preuve qu’elle commençait à s’y faire. En double, ses gémissements se transformaient en « haaa, oui, comme ça, continuez les mecs, ça n’a jamais été aussi bon ! » elle gémissait comme une adolescente, malgré les grimaces trahissant son visage. Leur paire de testicules cognaient l’une contre l’autre. Elle était prisonnière à la fois d’un plaisir divin et d’une douleur atroce. Elle poussait des cris de damnée, presque à perdre la voix. Eva et moi ne pouvions quitter notre regard de cette scène inconcevable même si ma voisine me confiait envieuse, « qu’est ce que j’aimerais être à sa place ». Les acteurs de ce scénario changèrent de positions plusieurs fois. Les hommes visitèrent plusieurs fois les orifices de la blonde, par devant par derrière. Anastasia les haranguait comme une folle alliée. Abou qui la prenait en levrette lui tirait le menton vers l’arrière ...