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Le joli mois de mai. 4ème partie. Bordeaux
Datte: 02/09/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... un bon restaurant, pour un arrêt coquin dans la nature... Depuis quelques minutes, ma femme se caresse en évoquant le week-end passé et en envisageant le prochain. Sa petite robe légère remontée sur ses cuisses ne cache rien au regard des chauffeurs de camion que je double le plus lentement possible avec malice. Les appels de phares qu’ils nous laissent dans le rétroviseur sont pour nous comme des remerciements. En voyant devant nous se profiler un autre poids lourd, je suggère à Christelle d’ôter sa culotte et de la laisser flotter au vent par la vitre. Loin de s’en contenter, elle va plus loin en descendant le haut de sa robe sur sa taille. C’est donc quasiment nue qu’elle s’exhibe, cuisses écartées, se fouillant de ses doigts le sexe que je sens déjà humide. Ses seins sont comme soulignés par la ceinture de sécurité qui les sépare. Vision érotique incongrue sur cette petite route départementale. En m’approchant du camion, je guette le moment propice pour le doubler. Certains des automobilistes qui viennent en face sont stupéfaits de ce qu’ils voient : une femme nue assise sur le fauteuil passager ! Je profite d’une longue section à trois voies pour doubler. Dans cette longue ligne droite typique du paysage vendéen, notre chauffeur ne doit pas en croire ses yeux : ne perdant pas une miette du spectacle grâce au toit ouvrant : Christelle donne libre cours à son imagination. Tout en se caressant l’entre cuisse de la main gauche elle fait passer sa main droite ...
... alternativement de sa poitrine à sa bouche. Humectant ses doigts à la manière d’une bite qui la prendrait, son index va et vient lentement entre ses lèvres, puis redescend sur sa poitrine pour pincer la pointe de durcie de ses seins. Elle regarde pendant ce temps le chauffeur du camion et semble le trouver appétissant : - « Celui-là n’est pas mal » me dit-elle, « prends ton temps pour le doubler… ». Concentré sur ma conduite je suis bien obligé de lui faire confiance, mais je connais ses goûts et si elle me le dit c’est qu’il est sûrement très mignon. Son petit manège dure une minute qui a dû paraître bien courte à notre voyeur involontaire qui nous voit disparaître bien vite dans les froufrous de la petite culotte de ma femme agitée par la vitre. De son côté ma délicieuse exhibitionniste, excitée comme une folle commence à lorgner sur la bosse que forme mon sexe dans mon pantalon. À travers le tissu elle jauge mon excitation et semblant satisfaite de mes dimensions du moment, fait sortir le loup de sa tanière. Je lui facilite la tâche en relevant le bassin pour quelle puisse baisser jusqu’aux genoux mon pantalon et mon boxer. Mon sexe jaillit à ce moment et elle entreprend de me masturber tout en se caressant. À ce rythme-là nous commençons à envisager très vite de nous arrêter sur la prochaine aire de repos. Dix kilomètres plus loin, de plus en plus tendu, je ralentis et m’engage dans une aire ombragée, heureusement calme à cette heure. À peine le frein à main serré, Christelle se jette ...