1. Le joli mois de mai. 4ème partie. Bordeaux


    Datte: 02/09/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... sur moi et entreprend de me sucer. Sous ses caresses je commence à sentir mon sexe palpiter de manière incontrôlée. Il est temps de passer à d’autres caresses sinon je risque de maculer tout l’habitacle de mon sperme. J’ouvre la portière et tout en essayant de masquer mon érection je sors de la voiture, fais le tour et entrouvre la portière côté passager et je demande à Christelle de me présenter sa croupe. Accroupie les fesses tournée vers moi, elle m’offre une vue d’une indécence folle. En me penchant un peu en avant je commence à lui caresser la vulve. Son sexe entièrement épilé s’écarte sous ma langue. Je capture son clitoris entre mes lèvres et le titille du bout de la langue en même temps. Elle ne résiste en général pas longtemps à cette caresse et effectivement je commence à sentir son bassin onduler de plus en plus, la fréquence de ses petits cris augmente aussi et dans une grande aspiration rauque elle jouit en criant : - « Chéri ! Tu me fais jouir ! » Ne comptant pas en rester là, je ressors par la braguette de mon pantalon, mon sexe toujours aussi dur et l’enfile d’une traite. Elle est littéralement brûlante encore une fois et je la fouille en prenant ses hanches à pleines mains. Je sors littéralement mon sexe à chaque mouvement de mes reins, pour la reprendre immédiatement. Son sexe trempé est un véritable puits dans lequel je plonge avec délice pendant qu’elle retient ses cris de jouissance. Complètement pris dans nos jeux nous avons oublié que nous étions dans ...
    ... un espace public. Tout en labourant Christelle, je lance un regard circulaire vers le véhicule sur notre droite, de l’autre côté de la voie. Un jeune couple avec un bébé et un chien fait une pause. La jeune femme est assise sur l’herbe, son bébé à côté d’elle et l’homme joue en lançant au chien un bâton inlassablement ramené par le gentil toutou. Rien à craindre de leur côté me dis-je, tout au plus voient-ils émerger de la voiture le haut de mon buste et les vitres teintées de la voiture dissimulent le corps nu de ma femme. C’est en me tournant vers la gauche, que je remarque un camion immobilisé à vingt mètres environ. Je le reconnais tout de suite : il porte les couleurs de celui devant lequel Christelle s’est caressée tout à l’heure. Il a dû mettre pied au plancher en espérant nous rattraper. D’où il est, il doit bien se douter de notre manège : sous cet angle les mouvements de mon bassin ne lui laissent aucun doute sur ce que fais. Sentant mon trouble Christelle se retourne, me voit regarder vers l’arrière et suivant mon regard aperçoit elle aussi le camion. Loin de la gêner cela semble au contraire la faire redoubler d’ardeur et elle me demande de continuer quand même : - « Continue, ça m’excite de savoir qu’il nous mate. » Je continue donc à faire l’amour à ma femme selon ses désirs puisque je sais d’expérience que ce genre de situation lui plait. Reprenant mon rythme de plus belle, je ne m’aperçois de la présence de l’homme que lorsqu’il est arrêté au niveau du coffre ...