NELS
Datte: 03/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... dans ma chatte. Toute à ma volupté, je ne réalisais pas que Monsieur me tournais face à lui et cette fois cinglait mes seins, mon ventre, puis mon pubis et ma chatte de sa main qui, jamais ne m'avait paru si rude. « Je ne vais jamais supporter ça », me dis-je complètement déboussolée, frustrée dans mon plaisir attendu, en colère contre moi-même d'être incapable de résister… Je demandai une pause, car je commençais une crise d'asthme, ce qui est rarissime mais résulte sans aucun doute de la pollution actuelle parisienne et de la situation confinée dans le Donjon. Aussitôt Monsieur me libéra. Confuse, je me précipitai à la fois pour reprendre mon souffle et limiter au plus vite ce trouble respiratoire désastreux. Heureusement, ce fut miraculeux, et je me retrouvai face à Monsieur, assis sur la table qui me caressait doucement et enfin me fit jouir à répétition, ce que j'attendais depuis le début en fait. Je deviens toute molle dans ses bras, tandis qu'il m'entourait de ses bras solides et me serrait fort sur sa poitrine, dure, si dure…Face au miroir, adossée à lui, il m'obligeait à me regarder, et je me découvrais étonnée, et troublée, les yeux brillants de convoitise gourmande pour avoir plus de jouissance : j'avais honte de moi et il me forçait pourtant à contempler ma vulnérabilité, si clairement dessinée en ce miroir, de mon corps et de mon âme. Alors affolée, je le regardais, lui, par le truchement du reflet, pour me rassurer, quitter cette honte d'être esclave de ma ...
... jouissance… Le bondage continua et je réalisai bientôt que Monsieur préparait une suspension car il tirait très fort sur la corde passée entre mes cuisses et sur ma chatte. La corde blessait ma peau entre mes fesses, je me sentais décoller du sol jusqu'au moment où repliant ma jambe droite, mon talon quitta le sol et je me retrouvai en équilibre sur ma jambe gauche. Affolée, je m'accrochais à lui, j'avais peur de tomber alors qu'en fait je ne risquais rien. Mais je ne sais pas, j'étais affolée, moi qui avais toujours désiré une suspension, je calais bêtement parce que la corde blessait ma peau, parce que j'avais peur... Je ne parvenais pas à me laisser aller. Sa main écartant les cordes de ma chatte, me caressa doucement, profondément, je vacillais dans l'orgasme incapable de l'atteindre alors que j'aurais voulus sombrer dans la troisième dimension, celle où se confondent espace et temps, celle où le corps devient abstrait et l'inconscient vous submerge. L'orgasme m'y propulsa un peu, le Jeu dura un moment, moi assoiffée de jouissance et paniquée à la fois, cherchant désespérément à m'accrocher à l'épaule de Monsieur, seul rempart contre mes épouvantes absurdes. Finalement je dus m'avouer vaincue, j'acceptais l'équilibre précaire, le frottement des cordes sur ma peau endolorie, et un orgasme profond partit en vagues du fond de mon ventre me propulsant littéralement dans l'espace intemporel sans que je m'en rende compte, toujours consciente cependant alors que j'aurais voulu ...