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L'abribus
Datte: 03/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme
Nous nous éloignâmes de la station et gravîmes un escalier qui menait à une vaste gare routière parsemée d’abris d’attente de bus en verre. A cette heure aussi avancée, l’endroit était désert ; l’habitation la plus proche se tenait à plusieurs centaines de mètres. Je guidais notre groupe vers le centre de la place jusqu’à un abri éclairé muni d’une épaisse paroi transparente d’un seul côté. Ma belle s’y adossa. Il était environ vingt trois heures trente. Les trentenaires malaxaient sa poitrine alors qu’elle les embrassait et caressait leurs sexes ; certains glissaient leurs mains dans sa culotte pour palper ses fesses et appuyer sur le jouet. Quant à moi, je fouillai le sac puis en sortis un flacon de lubrifiant et un second ustensile érotique. Son pénis rigide était aussi long que celui qui emplissait le vagin de mon épouse, mais il était moins large ; une ventouse, dont la jonction avec le pénis était souple, remplaçait les testicules à sa base. J’interrompis les ébats du quintet puis tendis à ma belle le second jouet et le flacon de lubrifiant. A ma demande, elle en enduisit le pénis artificiel : elle serrait son poing autour pour le caresser vigoureusement, comme si elle voulait faire gicler du sperme de l’extrémité du gland. Je repris le flacon que je rangeais dans le sac, et le jouet lubrifié dont je fixais solidement la ventouse à la paroi vitrée, à la hauteur des fesses de mon épouse. Un trentenaire lui retira sa culotte qu’il accrocha au toit de l’abri. Ma belle ...
... approcha sa main de son sexe pour retirer l’objet planté en elle. Je l’en empêchai en y posant mes doigts. Elle me regarda d’un air interrogatif, puis écarquilla les yeux lorsqu’elle saisit ce que j’attendais d’elle sans que je prononçasse le moindre mot. Toutefois, mes paroles auraient été inutiles : il lui était facile de comprendre à quoi pouvait servir ce nouveau jouet abondamment lubrifié, puisqu’il était impossible à son vagin d’accepter le moindre objet supplémentaire, aussi petit fût-il. Je retirai ma chemise, les quatre trentenaires m’imitèrent ; je rangeais ces derniers vêtements dans le sac. Mon épouse se plaça dos à la verge presque horizontale collée à la vitre, puis se pencha vers l’avant, jusqu’à ce que son thorax fût horizontal, tout en conservant ses jambes tendues. Ses seins perlaient sous son torse. Je m’installais derrière la paroi vitrée, pour bien observer ses fesses et son buste ; deux trentenaires me suivirent, les autres restèrent devant ma belle pour lui caresser la poitrine. Elle ouvrit ses pieds et recula de quelques pas minuscules pour approcher le pénis de la base de son coccyx. Elle posa ses mains sur chacune de ses fesses, puis les écarta ; elle nous dévoilait ainsi au-dessus de son vagin d’où dépassaient les testicules artificiels son anus dont les ridules convergeaient en son centre. Pendant les minutes qui suivirent, elle fit d’imperceptibles mouvements circulaires de son bassin pour que le gland décontractât ses sphincters. Quand elle se sentit ...