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L'abribus
Datte: 03/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme
... prête à la pénétration, elle déplaça ses pieds d’environ dix centimètres vers l’arrière, le second jouet disparut en elle en moins d’une seconde, et les testicules artificiels claquèrent contre la paroi. Elle posa ensuite ses mains sur ses genoux et resta immobile, les fesses contre la vitre, afin qu’elle s’habituât à la présence de ce second corps étranger dans ses entrailles. Elle conserva un long moment cette position, le regard extatique rivé vers le lointain. Sa respiration était profonde et ralentie, elle se concentrait sur ses gestes à venir pour accroître son plaisir au plus profond de ses entrailles ; les deux hommes placés devant elle serraient ses seins dans leurs mains. Elle fit ensuite des petits va-et-vient horizontaux de son bassin, fesses contre la paroi, pour assouplir ses tissus anaux afin que l’ustensile envahissant ses intestins pût pleinement s’exprimer. Puis elle fléchit légèrement ses genoux pour faire jouer la partie souple de l’objet à ventouse pour l’orienter vers le sol. L’inclinaison était infime, mais suffisante pour pincer entre les deux pénis la paroi de séparation du vagin et des intestins. Mon épouse ne pouvait rester bien longtemps dans une telle posture : la tension de la musculature de ses cuisses la fatiguait ; elle dut donc alterner les positions avec les jambes tendues et les genoux fléchis. Les gestes de ma belle étaient subtils et précis ; ils lui permirent de trouver peu à peu l’angle optimal de pénétration de l’ustensile anal qui ...
... lui procurait la jouissance sexuelle la plus intense. Sa respiration haletante devenait de plus en plus rauque, et ses soupirs se transformèrent en gémissements. Les deux trentenaires face à elle lui caressait toujours les seins. Bien que nous fussions tous les six entièrement nus en plein air dans un lieu public, la scène était particulièrement sensuelle : la délicatesse des gestes de mon épouse et la prévenance des hommes qui l’observaient donnaient à cette scène érotique une douceur pleine de pudeur qui tranchait avec l’apparente âpreté des gestes masturbatoires des protagonistes. Ma belle accélérait peu à peu les mouvements de son bassin et prit appui sur les hanches des hommes qui malaxaient sa poitrine et qui durent donc lâcher ses seins ; pour accroître la pression de ses fesses et des testicules contre la paroi vitrée, elle s’appuyait vigoureusement sur les bassins des trentenaires face à elle. Les mouvements pendulaires de ses seins sous son buste, les halètements rauques émis de sa bouche ouverte, les claquements bruyants des testicules artificiels contre la vitre, les vibrations de l’abri sous l’effet de la pression de ses fesses eurent raison du contrôle de mes émotions : j’éjaculais abondamment contre la paroi. Les deux trentenaires qui observaient le derrière de mon épouse se vidèrent également, et il ne fallut pas attendre bien longtemps pour qu’elle atteigne l’orgasme à son tour : elle se cabra violemment en tendant ses jambes et en poussant un puissant cri ...